Oubli. Ce pays est tellement beau l’oubliL’oubli où je voyage dans les veinules et les anneauxD’un utérus qui m’immerge et exaspèreLes canaux où je circuleLes rivières de plaisirs sont nullesDans la blanche banquiseDans l’oubli des traineaux et la vagueBlanche de glace