J’écrirai demain une courte étude sur le philosophe français le plus minable qui soit, André Comte Sponville, comme je l’ai fait sur Morin récemment.
J’écrirai demain une courte étude sur le philosophe français le plus minable qui soit, André Comte Sponville, comme je l’ai fait sur Morin récemment.
Les personnes qui ont peu de sentiments, surtout des femmes, ne peuvent pas se représenter la fragilité et l’ouverture d’un auteur quand il écrit des mots, y compris et surtout quand ils sont de l’ordre de la negativite. Leur faible représentation mentale, miroir d’elles-mêmes, ne peut pas représenter autre chose qu’un pannel réduit de sentiments et d’attitudes. Il y a peu de complexité en elles, et peu de nuances. Cette faible représentation que l’on remarque plus souvent chez la femme fait d’elle une potiche. Son ignorance la pousse à suivre des mots et des expressions réduites qu’elle nomme simplicité.
Je me demande si, de manière générale, la religion, dès ses origines n’a pas inversé la haine en amour, si la pensée religieuse n’a pas été un sarcasme envers le vivant et une vengeance envers la beauté, si les premiers prêtres n’étaient pas des complexés et des obèses qui voulaient la majorité des récoltes. Il y a de tout temps, chez le religieux, une mièvrerie, un complexe et une vengeance envers les hommes forts, beaux et sensibles, une perversion du naturel, une volonté de compenser son absence de lien avec le monde, son indifférence en général. Il y a dans la volonté qu’on le suive cette volonté initiale qu’on supporte sa même indifférence, sa même inaccessibilité au monde secret et sensible.
Il y a aujourd’hui une quantité phénoménale d’humains insensibles à leur environnement, à part leur chez eux. Ils ne ressentent rien, et sont cloisonnés dans leur cage mentale. Ils ne sont rien. Parfois on perçoit à peine des femmes avoir des sentiments, être en phase avec le réel. En général elles n’ont aucun intérêt pour l’amour. Ce sentiment est une contrefaçon du bonheur bien souvent, un étalage de mots dans un monde qui n’en contient plus. Le monde sarcophage dans lequel nous évoluons, le poète, le vrai, a tout intérêt à le comprendre par son monde intérieur et ses référents ouverts, il pourra ainsi s’offrir à ce qui adviendra de lui dans la vie. Mais le monde scellé des humains a peu de choses à lui offrir.
On dirait que je cherche à ce que la milice m’arrête pour m’envoyer au mont du golgotha. On m’a déjà dit que j’avais l’esprit martyr. Mais je suis vraiment pas sûr…
Les cowboys et les cowgirls ont débarqué dans ma vie, et se sont installés dans mon saloon les pieds sur la table. Cela n’avait pas si mal commencé, avant que tout finisse en règlement de compte. Ils se sont mis à coloniser mon espace, à prendre les commandes de ma ville et édicter leur loi. Puis ils m’ont foutu en zonzon et corrompu la cavalerie qui pouvait me venir en aide. Ils ont pris l’or dans ma banque, l’on thesaurise et ont fait fortune. Ils ont créé des entreprises sur mes terres, les ont asséchées, puisé du pétrole, monte leur bizness et m’oubliant presque dans ma geôle. Ils m’ont traité de peau rouge et ne m’ont laissé que quelques bouteilles d’alcool, en faisant danser des cowgirl pour moi derrière mes barreaux. Ils ont même prévu où je serai enterré.
Je ne vous pardonnerai jamais ce que vous m’avez fait, et je vais très bien comme cela. Je suis en paix avec l’idée d’humanité. Et surtout cessez maintenant avec vos justifications abjectes de pou ou d’amour, c’est ce que je trouve de plus nauséabond dans l’histoire que vous avez transformée en farce puante. Je vais très bien et je continue à travailler pour mon compte, jusqu’à nouvel ordre.
Il s’est formé sur mon géniteur, un type hasardeux (dans l’histoire dont je suis à l’origine) de peu d’esprit, quantité de transferts à mon sujet qui ont amené massivement des personnes, notamment des ignares américains, à élire ce type comme leur Dieu, avant de faire partouser ce guignol et baiser à ma place, pour installer la vengeance envers le charmant poète. Je n’aurais rien à faire de votre guignolerie plus longtemps, de votre Amon Rat spirituel, et votre télé réalité récréative. Vous m’avez déçu et je vous considère comme des fiotasses. Je ne prendrai jamais en compte les fiotasses que vous êtes comme des personnes capables d’ériger quoi que ce soit, lorsqu’elles ne sont pas même capable de me venir en aide en obéissant à des lois débiles. Vous m’avez déçu pour la plupart d’entre vous. Des personnes éclairées ou vraiment intelligentes et modernes sont de mon côté, pour les autres vous êtes de sinistres petits scarabés poussant leur boule d excrément devant votre Amon Rat, lorsque le soleil c’est moi.
La perversion, la violation absolue de ma vie privée et de mes données personnelles, que seuls les nazis auraient pratiqué à une époque, est une vérité indiscutable. Je suis parfaitement immobilisé face à un régime de terreur qui grandit autour de moi. Je ne peux rien faire comme je vous l’ai dit. Je suis beau, sensuel et viril et on veut me démolir pour cette raison. Je n’aurais peut-être bientôt plus la chance de réagir, qui est le tout de mon existence : réagir au viol et à la destruction, en tant que constructeur et créateur. Toute ma vie j’ai été conciliant et cordial avec les gens. Je suis devenu un virtuose de la sociabilité. Mais on m’accuse précisément de ce que je ne suis pas, quelqu’un de rustre parce qu’on m’a obligé à me prendre sur le fait.