Poitrine
Où sont les serres de ces canaris qui tremblent
Dans le fenouil et la fenaison des trembles
Il pleut sur la bouche de la ville
Des histoires qui se succèdent dans les chevilles
Et nageoires de ces poissons et mammifères
Ils ne sont pas attachés l’un à l’autre
Les nombres qui se succèdent dans la station
Et dans la partance vers des horizons proches
Inscrits dans le corps et les ongles
Et touchant à des nations salubres
Elles n’existent pas, mais dans le marbre de ton sein
Et dans la grande aiguille solaire du monde
Les cadrans tournent autour des secondes
Et le porche de ces villes n’a plus l’encombre
D’une réalité excessive