Mojave ghost.

ailleurs encore Les chiens meurent ensablésLe vent de l’usine à machiner du sableDevient la frénésie qui s’en vaQuelque part dans le fond du cœurOu du pubis : qui s’exclame qu’il aime la clameurMais loin est plus pure encore ce qui n’a pas de demeure Nous sommes allés à l’exact combleNous ne sommes que des demeurésDans […]

quelque part ailleurs Je n’ai pas inscrit au premier jourLa longue plainte de cette siTénue plaine ; je me suis vautréDans le seul règne du chienIci on aboie et le sable traverseDans le vent ce qui est menaçantLes canines du chien comme les gueulesDes bois pourris Les dents de la statue qui s’épanouitEt se recueille […]