ailleurs encore Les chiens meurent ensablésLe vent de l’usine à machiner du sableDevient la frénésie qui s’en vaQuelque part dans le fond du cœurOu du pubis : qui s’exclame qu’il aime la clameurMais loin est plus pure encore ce qui n’a pas de demeure Nous sommes allés à l’exact combleNous ne sommes que des demeurésDans […]