by Florian

Oubli.

Ce pays est tellement beau l’oubli
L’oubli où je voyage dans les veinules et les anneaux
D’un utérus qui m’immerge et exaspère
Les canaux où je circule
Les rivières de plaisirs sont nulles
Dans la blanche banquise
Dans l’oubli des traineaux et la vague
Blanche de glace