Qu’est ce que la réflexivite ? Elle a tout à faire du rayonnement, du reflechissement, de la réflexion. Elle est une trajectoire qui revient à soi, une communication. Vous aurez compris, elle est la grande absente du monde canin d’aujourd’hui. Un monde sans réflexivite est ce monde tripal où l’on pense directement, sans qu’il y ait eu réflexivite, soit un minimum de traitement des informations.

Les attentats terribles du 7 octobre visaient à priori une certaine décadence occidentale, potentiellement liée au projet (j’ai vu une vidéo d’une jeune israélienne qui me semblait un peu désabusée pour son âge, indépendament des fêtes qui étaient organisées ce jour là). C’est comme si il y avait un lointain et proche ennemi commun, un ennemi de Dieu dont il paraîtrait qu’il est le même. Je note que cette singularité de situation se retrouve à toutes les échelles des antagonismes, et pas seulement sur le plan du divin.

Si la Chine et la Russie ne réagissent pas à temps, le monde deviendra une colline du crack géante avant que l’humanité ne disparaisse*. Il en va de sa survie. J’ai fait un rêve prémonitoire à ce sujet. Je sais que c’est ce qui adviendra. On ne peut pas faire autrement.

  • Ce n’est pas la du registre de la politique mais de la psychopathologie comportementale.

Un hiver à Moscou.

O mon bel hiver, tu viens déposer tes chaudes plumes
Sur mon cerveau balaye par tant de peines
Charmant petit hiver, on dirait que l’on peut s’asseoir
Sur ton manteau de grandes nuits noires

Enfin tu apparais avec tes élégantes masures
Subtilitées à l’été, plus profondes et lugubres
Enseveli dans le noir intense et singulier
Je cogite sur tes nuées infinies et brisées

Mon si bel hiver est arrivé, pour mourir en moi
Et nourrir de tendres rêves, plus éloignés, plus mièvres
Que les quintessences de l’été. Oh que je meure
Dans les bras éternels de tes branches dorées !

La philosophie de l’ingratitude qui vous a été transmise est parfaitement indolore. En observant le vieillard du matin au soir il vous a transmis le culte du bouc émissaire, par l’entremise de vos neurones miroirs. Vous avez cet instinct de vouloir m’éduquer et me corriger en premier lieu, mais aussi de me juger responsable du moindre problème qui a lieu dans le monde. Un historien me jugeait responsable des guerres par exemple et des femmes se sont vengees de leur condition historique de ménagères dans une boutique bizontine. Mais peut être que cela commence à changer.

Ce n’est pas tellement que l’individu parle pour ne rien dire, c’est qu’il a cet instinct de position de supériorité propre au colon. Je l’ai entendu expliquer à un pilote d’avion en quoi consistait son métier alors qu’il n’a jamais piloté une minute de sa vie, ou bien expliquer à un plongeur comment plonger alors qu’il ne sait pas même nager. Cette philosophie de la mafia (mais de gauche, donc légitime) a amené tout bon raisonnement à chuter. Les scientifiques eux-mêmes justifient le projet par des aberrations.

Mais comme dirait Rabelais intellect sans affect n’est que ruine de l’âme.

  • En fait c’est pas ça qu’il a dit.

Quel article magistral Florian !

Le serpent pourrait être le symbole de la nuance et de l’intellect, il entre insidieusement dans la pensée, dans un amas, dans une pluralité de discours pour y voir plus clair et percer la compréhension. Il peut paraître agaçant parce qu’il n’est pas compris, parce qu’on ne perçoit pas tous ses mouvements et ce que sa langue olfactive tâte d’air, et peut-être aussi, parce qu’il ne transmet pas justement tout ce qu’il a perçu.

Il n’y a pas une once de pardon en moi envers qui que ce soit. J’entends parler de cela. Il y a de l’oubli, du dépassement, de l’intérêt personnel, de la vie, comme on dit, mais pas une once de pardon. Par stratégie dira t-on. Mais vraiment rien du pardon. Bien au contraire, je ne pardonne strictement rien, que ce soit bien clair, et c’est d’une grande sagesse. Je me réjouis des contre attaque et de la violence en retour, car elle est légitime, et car tout cela dépasse les limites de mon corps, et car la guerre contre le parasitisme est saine, pure et déliquescente.

Une ironie du sort est que leur bibliothèque géante risque un jour de les prévenir de leur immense erreur. Comme pour l’augmentation de l’intelligence… C’est comme si ces gens là construisaient ce qui mettrait fin à leur règne. C’est comme cela que toutes les civilisations se sont éteintes, par ailleurs.*

  • Et en cela je prédis déjà la fin de l hypothétique prochaine civilisation.