Journal de la biographie permanente.

Le monde soupirail, le petit monde des origamis et de la manipulation des migrants, le petit monde bourgeois, frileux, conspirateur, indifférent, manipulant les Africains, le petit monde du petit soupirail et de la scène érotique, le monde des epadh et des associations caritatives, des lendemains qui chantent, des cultures revues et corrigées, des mythologies à l’emporte pièce, des animaux de compagnie, des nostalgiques d’un temps qui était déjà ringard et cucul, comme les années folles qui était une mode d’encules rétro 1890 et de blaireaux de montmartre, le monde cucul des soupiraux, des pièces de théâtres mal jouées qui ont du succès tandis que les acteurs jeunes et frais qui ont du talent ne sont pas récompensés (j’ai vu tout cela à Paris), ce monde cucul et gerontophile, avec ou bien des vieux, ou bien des jeunes qui se lechent la pomme entre eux, qu’il aille se faire foutre !

100 % des amis (je dis bien de mes amis) que j’ai eu m’ont apprécié pour ma sociabilité. Ils me sautaient au cou dès que j’arrivais. Et si un seul de leur propos ne va pas dans ce sens, alors c’est un mensonge.

On dit parfois de quelqu’un d’un peu simplet : « il n’a pas inventé la poudre celui-là ». C’est la poudre à canon qui est ici désignée, soit du soufre mélangé à du salpêtre. Mais cette expression sous-entend que celui qui a inventé la poudre à canon peut aisément dominer le monde. Et vous savez qui a inventé la poudre à canon ? Les Palestiniens ! Quand les croisés étaient partis au Moyen Orient restituer la terre sainte aux chrétiens (vous imaginez si on revenait le faire aujourd’hui ?), les Palestiniens utilisaient cette technique très efficace pour attaquer les croisés.

Mais si je venais au Moyen-Orient aujourd’hui en arguant que je suis le Messie, pas besoin de poudre à canon, je crois que j’ennuierais tellement les Moyens Orientaux (c’est comme cela qu’on dit ?), qu’ils arrêteraient sur le champ tout conflit.

Maître Florian utilise vos agressions maintenant.*

• La toux vs Socrate.

Je n’ai presque plus mal au cœur, comme c’était le cas il y a des décennies, quand j’encaissais plutôt que me m’exprimer. J’ai même fait des angines de poitrine lors de ma vingtaine. Aujourd’hui je m’exprime par intermittence, pour me faire plaisir et quand j’en ai l envie. Tout à l’heure je suis resté plus d’une heure, voire deux, sans presque penser, au ralenti. Le climat social s’apaise un peu. Je ne sais pas si ce sont mes arguments ou les phénomènes paranormaux, mais ils semblent avoir compris quelque chose*. Il reste néanmoins des risques neuro vasculaires, il ne faut pas sortir à ce moment là. Je percevais cela l’année dernière, certains dimanche. C’est comme le footing, quelques fois il ne faut pas en faire, mais attaquer le whisky à la maison, et mettre à mal sa santé mentale.

• Reste les travailleurs, très doués dans leur domaine, ayant un intellect plus rapide que le mien, de vraies machines, mais il serait aisé pour moi de les noyer dans l’amplitude de ma pensée, avant que de revenir les mettre à mort dans leur propre domaine.