2.

Un chapardeur n’a, par définition, aucun projet, aucune envie d’une civilisation meilleure, d’un bien commun. Il ne pense qu’à ses intérêts de son vivant, étant matérialiste athée, niant le divin. Il a ce plaisir et cette énergie d’organiser le monde pour servir ses intérêts de son vivant et ce deuxième automatisme de vouloir détraquer le monde futur, afin que plus aucune joie ne lui survive après sa mort. Sa seule joie aura été de baiser le monde entier et ce qu’il y eut de plus précieux que j’incarne absolument. Ce mal absolu, c’est précisément parce qu’on ne veut pas y croire qu’il existe.

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