La vérité c’est que je n’aurais jamais dit ce que j’ai pu dire dans un cadre public où regnerait la législation en vigueur, si j’en avais eu la chance, et cela est un argument judiciaire en béton armé.

À plus tard.*

  • Je ne parlais là que d’une éventuelle défense et pas des faits que j’aurais à reprocher.

Vous allez vous faire de l’argent là, ou commettre des crimes moraux ?*

  • Ai je le droit de faire de l’humour dans le cadre de la vie courante et de dire que je n’ai aucun compte en banque à l’étranger ?

Le délit d’incitation à l’incitation à la haine ou à la violence a t-il un nom ?*

  • Qui plus est sur une personne fragilisée et isolée et reconnue comme telle par l’état Français. *
  • Pourrait-on également incriminer l’absence volontaire de communication avec cela ?

Mais peut-être n’est ce là qu’une hypothèse.

Je demanderais si nécessaire, à des dirigeants étrangers qui respectent le droit international, de sanctionner économiquement la France dans le cadre de la plus grande légalité.

Remarques subsidiaires.

Pour ce qui serait de ma consommation de stupéfiants, elle se limite à doses infimes de CBD que j’achète légalement.

Je suis par ailleurs, un écrivain de renommée internationale je crois, parfaitement intégré et surtout adapté à la société et qui plus est qui répond à la demande de nombreux citoyens dans le monde épris de justice et de bien public.

Avocat est le seul métier que j’aurais aimé exercer en dehors de l’activité d’artiste ou d’écrivain. Mais la réalité est souvent décevante.

Je serai, avec mon équipe d’avocats et de magistrats, absolument redoutable et intraitable en raison du nombre de victimes innocentes qui ont été occasionnées suite aux violations du code pénal et du droit international.

Apologie de crimes de guerre et contre l’humanité et de génocide.

Mon combat contre ce qui est mentionné ci-dessus sera intraitable. Si des personnes qui ont violé mes données personnelles, malgré que j’ai demandé à la police d imperativement le vérifier, ont conclu cela suite à des propos que j’ai tenus, alors j’engagerais toute la justice française. Tout d’abord car mes créations artistiques allaient dans un sens qui lui était opposé, ensuite et surtout car il était là question d’une réaction à des comportements criminels de certains journaux qui m’avaient accolé cette étiquette lors même que je n’étais au courant de rien à propos de ce sujet en relation avec ma personne. Enfin, car j’estime que la violation de la loi, soit d’un nombre colossal d’infractions au code pénal, y compris celle de non assistance à personne en danger, qui n’ont pas été traitées par la justice sont responsables de la situation internationale. Mon combat ira dans ce sens.*

  • Cela ayant lieu qui plus est envers une personne souffrant de troubles psychiques, ayant été exploitée à des fins financières, et je le répète encore, absolument hors de cause dans la situation internationale que la justice française n’a su empêcher d’advenir.*
  • J’ai subi par ailleurs des tentatives d’assassinat négligées par la police.

Je vois qu’il y a des rumeurs à dormir debout sur des violences que j’aurais pratiquées envers E. Eh bien voilà, la première fois je l’ai immobilisée sur un canapé, après quoi elle est revenue me demander de la frapper au visage, allant dans une surenchère incroyable comme à son habitude. Effrayé par cela, je tentai de calmer le jeu, y parvins et lui payais son billet de retour le plus vite possible pour qu’elle rentre chez elle. La deuxième et dernière fois, dans une chambre d’hôtel, je l’ai en effet maintenue au sol par la nuque avant d’arrêter immédiatement de la saisir au moment où elle me dit fortement d’arrêter. Il se fait qu’elle avait des bleus à un genou le lendemain car j’avais dû, sans m’en rendre compte, lui bloquer le genou quelque part et je reconnais que dans ces moments là on ne se rend pas compte de ce qui peut arriver. Je tiens à dire qu’il n’y a pas l’ombre d’un caractère violent en moi et qu’à ma place, vous auriez eu parfois peine à croire que j’en sois resté là.