Un oui ou un non sont parfois plus violents que certains propos outrageants.

L’enfant de Dieu, le Seigneur* ne porte aucune révolution en lui, il connait la vacuité de toute chose, la finitude et l’infini de toute chose, le vide et le plein. Il sert des intérêts célestes comme terrestres. Sa connaissance précise, son intuition fondamentale est celle de l’univers en expansion qui est fini**. Il sait parfaitement comment tout commence et comment tout prend fin. Il n’est jamais téméraire, mais il semble une énigme aux autres, car il connait des vérités inaltérables et il les affiche telles qu’elles sont.

  • C’est une métaphore.
  • Il connait, dès sa naissance, le dernier stade de découvertes qu’un astrologue pourra présenter avant la fin de l’humanité.

Il y a une personne qui à mon sens va trop loin dans l’esprit de révolution, et ne fait pas assez de concession au progrès : c’est Albert Camus. Son esprit est trop radical, trop peu enclin à une joie légère et trop empreint de tristesse. Il manque de ce soleil qui se porte lui-même, un esprit de civilisation.*

  • Il me semble avoir déjà dit que l’athéisme est infiniment triste, mais il est peut être aussi passéiste.

Un système totalitaire parfait doit être en mesure de vendre des révolutions aux gens. L’esprit révolutionnaire est inhérent à l’humain, et pour cela, ce système vendra du rêve à partir de toutes circonstances possibles, parfois qu’il a lui-même créées, afin d’assouvir ce besoin chez l’humain. La vérité est que la plupart d’entre eux n’ont pas une idée exacte de ce à quoi ils s’opposent, si ce n’est une part d’ombre inhérente à l’humain, et parfois qu’ils ont sous les yeux. L’idée de profiter de la vie et qu’un oppresseur nous en empêche est très efficace, tout comme l’incertitude face à l’avenir. Plus une civilisation est fictive, moins l’esprit de révolution devient clair, et il peut devenir une simple option d’un régime totalitaire.*

  • Simple intuition de ma part.

Que signifie le mot « zol » ? Les Sud-Africains ont été agacés par le mot d’argot désuet « zol », qui signifie « joint » ou « blunt » , utilisé par Nkosazana Dlamini-Zuma dans un discours. « Quand on fume du zol, on met de la salive sur le papier », peut-on lire dans un extrait de son discours. « Et quand on partage ce zol… on fait circuler de la salive de l’un à l’autre », poursuit-il.

Panazol.

L’origine du nom de la commune reste obscure. Ainsi, plusieurs hypothèses ont été avancées: De pan, base homonymique pré-indo-européenne (« rocher », « falaise ») et ate-oleum, double suffixe. Une interprétation plus poétique avait été faite à la fin du XX e siècle: de pan (pain) et sol (soleil).

68, c’est fini, talala la lala

« Il est interdit d’interdire » était bien entendu un slogan conjoncturel, genre une révolte contre les censeurs et les proviseurs. Là où cette charge implicite et bon enfant a dévié, c’est qu’elle avait en elle un germe potentiel d’un parfait slogan du totalitarisme. A quel régime totalitaire en effet, ne conviendrait pas cette formule ? Et là où elle pourrait être malicieuse, c’est en gardant son aspect bon enfant…

C’est grave car je fais de la sclérose en plaques à cause de la violence qui a été exercée sur moi depuis plus de 20 ans. Drôle de comportement envers un Messie… Comment voudriez-vous faire une civilisation positive à partir de cela ? C’est parfaitement impossible. Et Dieu vous l’a fait savoir.

C e s t c o m p r i s ?

Le mouton des moutons.

Florian est un calme et un méandre
Les plus subtiles essences de l’amour
Les plus légères imbrications de spirales
Les chaînes de causes et de conséquences
Lui sont visibles tant il est pur et léger
Ainsi qu’une flotille invisible
Le monde et les gens, gourds et violents
Sont le plus souvent de sombres masques
Jalousant sont irrésistible ardeur
Son appréhension des secrets les plus subtils
Sa vision douce et algale*

  • À ne pas confondre avec la pègre 😉