Nietzsche est sévère dans sa critique du pragmatisme. Il dit qu’au bout de deux ou trois générations, l’idée de faire le bien est la seule chose qui persiste, et que le bien a été perdu en cours de route. Perdu dans la forêt pourrait on dire. J’ai toujours pensé qu’il avait un point commun avec Rousseau. Si ce n’est que la philosophie de Rousseau sourit là où Nietzsche ricane.