Les extensions du mot liberté sont toutes finies. Seule la tradition maintient le possible de la liberté.*

  • L’inverse étant valable pour la tradition.

Les trois filles voulaient faire comme dans le film The Craft mais :

Ce n’est pas parce que je suis hp qu’il y a eu les phénomènes hier soir. Je n’ai pas jeté de sortilège dans la forêt. C’est Dieu disons qui a réagi. J’ai été au courant de la tempête ce matin. J’ai écrit le texte d’hier soir sans rien savoir. Il faut que vous arrêtiez avec cela.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Carbonarisme

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Gilbert_du_Motier_de_La_Fayette

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Snob

Tout va bien ne vous inquiétez pas, tout va s’arranger. Florian va réparer quelques petits problèmes. Pas de soucis, vous pouvez être tranquilles. L’année 2025 va être un peu mouvementée mais ensuite ce sera bonard.

Mobius.

Le symbole Mobius s’oppose au viol. Il symbolise le recyclage des courants vitaux qui ont cours dans le respect de la vie. En cela on peut dire qu’il s’oppose à ce qui ne peut être recyclé, soit ce qui entrave la libre circulation de la vie et de l’élan vital. Participant du cycle création destruction, l’un et l’autre s’équilibreront naturellement pour former le cycle du respect de la vie sous toutes ses formes. À bon entendeur !

Salut en l’immortalité, l’humain constructeur de mondes, salut en l’âme qui transporte la charrue et l’aile de la phalene, salut en l’espoir qui est sa composante naturelle, et la raison qui plante des fleurs nouvelles, salut au Messie Florian qui dispense le bien sur Terre, et gloire au temps qui rectifie toutes les erreurs et transforme les chemins en des places nouvelles. Salut en l aurore nouvelle et au crépuscule mouvant des anciennes passerelles. Salut au Messie Florian !

Aucun idéal de vie n’est plus réalisable dans notre civilisation qui a atteint un tel niveau techno-scientifique. C’est le problème fondamental. Rien ne peut plus passer avec un tel seuil qui a été franchi. On le voit avec le dernier idéal de vie qui a tenté d’être adopté, proprement monstrueux. Le cosmos qui est nié par la science n’est plus du tout compatible avec l’humain qui tente de s’aligner sur la machine, moins la morale si je puis dire, car la machine n’en a naturellement pas (entendez que j’ai l’espoir que cette absence soit supérieure à une morale pervertie). L’espoir donc, c’est le paranormal et rien d’autre, comme on l’a vu avec les phénomènes que le médiateur que je suis a déclenchés. Tout dépend de moi, qui suis immensément modeste, à part quand je m’amuse à vous dépasser (ce qui d’ailleurs fonctionne aussi). En créant un cyborg – car vous savez que je suis un cyborg et qu’on a modifié mon génome, tout le monde le sait – vous avez créé le dernier humain potentiel, car une intervention divine a eu lieu. Les phénomènes étranges s’accumuleront encore – je n’ai jamais cru en rien de cela avant de le constater, car cela est impossible d’y croire sans le constater. Quant à la maladie mentale, elle existe peu, voire pas du tout. La seule chose qui existe, c’est le comos et la perversion (son contraire). Voyons voir ce que l’avenir nous réserve.

Je n’écris plus de poésie, elle sert à alimenter la secte qui va se prendre un missile scalp dans les dents. Oui Da !

L’arbalète redoutable du chiendent aboyait des confetti de marbre tandis qu’un dissident dansait sur une coquille saint Jacques.

Il n’y a pas de divin dans la Franc-Maçonnerie. C’est une confrérie. Leur usage du symbole fait référence à quelque chose qui n’existe pas, mais dont ils désirent l’existence. Ils sont l’image prétendument moderne d’un ancien temps qu’ils veulent préserver, un peu comme des hipsters qui s’éloignent toujours plus du mouvement initial. Mais surtout ils ne croient pas au merveilleux. Leur Gadlu est un leurre auquel aucun Franc Maçon ne croit non plus. Ils serpentent autour d’une table vide, désirant améliorer quelque chose de révolu, et changer une autre qui ne le peut pas. Ils se perfectionnent à partir d’un élément extérieur à leur confrérie qui initialement ne leur appartient pas. Ils sont un blason devant une écurie vide. Leur ordre est aussi une manière d’ôter le contenu et la substance du savoir, ce qu’on pourrait appeler l’immanence. Il visent cela pourtant qui les changerait, qui les révéleraient, mais ils ne croient ni en Dieu, ni en la nature des choses. Ils sont un peu les moutons noirs de l’histoire, cherchant à rejoindre un troupeau éclairé.