Mon parrain savait probablement pour l’affaire qui concerne ma famille, comme les autres. Je le sentais être étrangement proche de moi depuis qu’il était tombé malade. J’ai souvenir par ailleurs de marques physiques d’affection qu’il m’avait donné dans un restaurant, en disant « Floflo »* et qui avaient rendu fou de colère l’individu qui était en face (je perçois cela aussi), qu’il a ensuite reproduites faussement (bien après) sur son petit fils Arthur en ma présence, comme pour se venger.
- Il m’avait aussi montré dignement et avec un peu d’humour la photo d’une femme nue sur son téléphone portable, ce qui avait fait se dresser l’individu enragé de sa place pour vérifier ce qu’il m’avait montré.