Saviez-vous que la cancel culture agit également sur le mouvement hipster originel ?

Un conseil pour les Belges : les cargaisons de drogue transitent par Rotterdam, j’ai fait mon enquête.

Dans beaucoup de films d’horreur que j’ai vus, la victime prend souvent une pierre pour se débarrasser de l’agresseur qui tente de le tuer en lui donnant un coup sur la tête. Cela revient souvent. Il me semble qu’il s’agit d’une métaphore inversée, réflexive dira t-on, de votre comportement. Car vous auriez pu me donner un coup de pierre sur la tête pour me tuer, dans une allée sombre, comme cela a pu se faire, mais vous ne l’avez pas fait. Non vous n’avez pas choisi de me tuer de cette manière*. Vous avez choisi de faire flores et commerce de ma souffrance. Car je suis une victime de choix : réactive, résiliente, résistante, créative, gentille, originale, etc.**

  • C’eût été peut-être trop risqué.
  • Ce qu’explique bien Thierry Patrice qui avait fait plusieurs conférences sur la méchanceté il y a quelques années.

La petite bourgeoisie.

C’est de la petite bourgeoisie* qu’est né ce projet de putréfaction morale qui me concerne. La classe sociale du ressentiment et de la haine, celle qui a toujours échoué à toutes ses initiatives, s’ennuie, envie les plus riches et les plus pauvres. Probablement la classe sociale qui a porté Hitler au pouvoir et dont l’ennemi juré est l’esprit révolutionnaire. Son ressentiment, son sentiment d’échec l’ont conduite à vouloir coloniser le restant des classes, les institution, l’état. Les poncifs qu’elle transmet sont intangibles, et le décorum pourrait-on dire qu’elle diffuse se remarque immédiatement. Les artistes les véhiculent à merveille, et leur créativité s’arrête éventuellement une fois atteint le stade de la haute bourgeoisie. Ce milieu a planifié la monstruosité qui me concerne, contre toute morale et toute justice.

  • Comme on me l’a laissé entendre.

Les empires se forment en réaction à d’autres, et celui européen, monstrueux, insensible* et barbare, après avoir déclenché deux guerres mondiales**, nous donne des leçons de démocratie, car cette fois ci il voudrait exporter sa barbarie à l’étranger, sans en payer les frais ? Comment qualifierez vous ce discours ? Réactionnaire ? Mais bien sûr ! Seulement le petit Florian, il doit bien réagir non ? Légalement bien entendu.

  • Comme dirait Dupieux.
  • Enfin en provenance de son sol historique.

Saviez-vous que les États-Unis ont la possibilité de bloquer Internet dans le monde entier ? Le monde entier dépend aussi d’un matériau que seuls les Etats Unis produisent, pour l’industrie automobile je crois.

Que font les États-Unis Unis dans l’OTAN ? Ont-ils l’extrême amabilité et la grande galanterie de travailler pour ceux qui sont contre eux et les intérêts de leur pays ? Quelle gentillesse de leur part, vraiment.

Immanence et histoire.

Ce qui n’a pas d’immanence en soi* ne peut rien produire de durable. Seule la mécanisation peut la remplacer, que ce soit dans les esprits ou évidement la machine. Ce qui n’a pas d’immanence en soi vise aussi, historiquement, à reproduire des schémas parfois arbitraire de cohésion et d’ordre, dans lesquels la liberté de chacun est reléguée à sa place respective, avec les imaginaires qui lui sont propres. On à élaboré pour cela de grands récits fictifs. Ces récits produisent de l’immanence à leur tour, tandis que des contre récits peuvent éveiller d’avantage de frustration et de méfiance, parfois à juste titre. Ces récits ont été des protecteurs d’un chaos potentiel et de l’anarchie. Où vous situez vous entre la fiction et la réalité ?

  • Elle est plus présente chez les femmes.

L’azur.

J’ai un morceau d’azur coincé dans la tête. Il me fait tantôt mal, tantôt me rassasie. Mais jamais, jamais je ne pourrai le retirer.

Pour les éditions récentes des Chants d’innocence de Blake.

Un jour un enfant vit un vieillard qui n’avait aucune douceur en lui. Il lui demanda qui es tu ? Je suis un vieil aigri, un égaré et un imposteur. Je me suis fait passer pour Dieu lorsque seuls les sévices existent en moi. L’enfant lui dit : quel mal terrible vieillard, que tu n’aies jamais trouvé le bonheur ailleurs que dans le crime. Oui tu sais même enfant j’étais un scélérat et une âme errante, ma mère me haïssait et je haïssais tout le monde. On mourut au bord de moi, car je n’ai jamais réjouit personne. Que c’est cruel dit l’enfant, de voir une âme pareille, cela ne devrait pas exister ! Mais je suis bien pire que cela dit le vieillard, j’ai organisé le crime, terni les villes, corrompu les esprits, privé les hommes de sens et fait des légions de voyous. Ah dit l enfant, que je n’eus jamais voulu être vous même. Je suis une erreur en effet, un bandit et une ordure, et de moi pousseront des fleurs fades et pestilentielles. J’ai inversé l’ordre du monde, salopé la vérité, détruit la pureté, déféque sur les miens, empuanti le monde entier. Cela suffit dit l’enfant, je ne veux plus entendre votre récit ordurier.