Pourquoi le feu a-t-il été choisi dans le mythe de Prométhée pour représenter le progrès ? 1000 pages, allez 800.*
- Tout débuta avec une explosion de feu et de poussière, dont j’appris l’existence près d’un âtre…
Pourquoi le feu a-t-il été choisi dans le mythe de Prométhée pour représenter le progrès ? 1000 pages, allez 800.*
Je me demande de plus en plus si ce n’est pas moi l’idéologue et les autres qui forment un simple système de pensée.
Il me semble que certains occidentaux de la période décadente* actuelle veulent accueillir à bras ouverts les musulmans dans l’espoir inconscient qu’ils les sauvent de leur perdition.**
Je réalise le premier rêve de Nietzsche, La naissance de la tragédie, tous les soirs devant vos yeux. Du vrai théâtre, sous vos yeux, qui concerne votre survie, du vrai de vrai, sans aucun masque, à tel point que je ne pourrais jamais être un acteur, car cela serait trop joué. Je ne suis pas non plus du théâtre de la cruauté, qui voulait reproduire de simples mimiques censées montrer l’injustice et la cruauté de la vie. Non, je vous déclame votre devenir, votre vérité, j’enlève le masque initial de la tragédie grecque, qui a donné la philosophie. Près de l’âtre, vous aurez remarqué.
Un homme disait qu’il y avait une civilisation originelle gouvernée par une sublime loi, et que des oiseaux de paradis se posaient sur des temples qui semblaient nouveaux dans une nature prodigue. Il disait qu’il n’y avait pas de mal, ou plutôt que le mal était changé en bien. Il disait que des personnes néfastes n’avaient pas supporté que le bien soit une nature entière et virent des ruines plutôt que temples nouveaux, ainsi que des oiseaux de proie dont le présage était différent. La civilisation fut gelée et prit conscience de la versatilité de ses sentiments. Elle comprit qu’on pouvait faire le mal avec les mêmes besoins, et que les résultats étaient plus bénéfiques. Les oiseaux n’étaient que des oiseaux, et il ne fallait pas les écouter. Il dit que le Messie se souvenait encore des lois de la première civilisation.
(texte plus ancien réécrit)
Être grandiose n’est être pas orgueilleux ou vaniteux*, ah non, non ,non, non, c’est être à l’écoute des autres, d’égal à égal.
Les femmes qui aiment les masculinistes, les misogynes et les nationalistes, qu’elles aillent avec eux, mais qu’elles n’écrivent pas un mot sur moi.