Un homme disait qu’il y avait une civilisation originelle gouvernée par une sublime loi, et que des oiseaux de paradis se posaient sur des temples qui semblaient nouveaux dans une nature prodigue. Il disait qu’il n’y avait pas de mal, ou plutôt que le mal était changé en bien. Il disait que des personnes néfastes n’avaient pas supporté que le bien soit une nature entière et virent des ruines plutôt que temples nouveaux, ainsi que des oiseaux de proie dont le présage était différent. La civilisation fut gelée et prit conscience de la versatilité de ses sentiments. Elle comprit qu’on pouvait faire le mal avec les mêmes besoins, et que les résultats étaient plus bénéfiques. Les oiseaux n’étaient que des oiseaux, et il ne fallait pas les écouter. Il dit que le Messie se souvenait encore des lois de la première civilisation.
(texte plus ancien réécrit)