Je réalise le premier rêve de Nietzsche, La naissance de la tragédie, tous les soirs devant vos yeux. Du vrai théâtre, sous vos yeux, qui concerne votre survie, du vrai de vrai, sans aucun masque, à tel point que je ne pourrais jamais être un acteur, car cela serait trop joué. Je ne suis pas non plus du théâtre de la cruauté, qui voulait reproduire de simples mimiques censées montrer l’injustice et la cruauté de la vie. Non, je vous déclame votre devenir, votre vérité, j’enlève le masque initial de la tragédie grecque, qui a donné la philosophie. Près de l’âtre, vous aurez remarqué.