Archives Quotidiennes : 23 avril 2025

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Ma maman me disait « quand tu connais pas, tu parles pas ».

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Vous savez tout sur l’origine de ma bipolarité : elle est la résultante symétrique du comportement que les gens ont envers moi.

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Vous voyez comme il suffit parfois de voir les choses du bon côté. Un mec pourrait se suicider à ma place, mais si tu as compris que c’est toi que le monde entier désire et admire (parfois sans le savoir), alors ça change quand même un peu la donne.

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Mais rassurez vous une ville constitue un faible pourcentage de son environnement intérieur aujourd’hui, surtout si la ville et les environs ont des avantages. Ca ne me dérange pas plus que ça et c’est un peu pareil partout en France. Quand je pense que tout ce complot est dû à mon attractivité et ma pureté […]

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La bêtise d’une opinion pour la vie (soit figée et non multiple ou passagère), comme l’orientation politique le montre, s’explique parfaitement en ce que l’opinion, et rien d’autre que l’opinion, soit la doxa, l’antiphilosophie, qui ne se prouve et ne s’explique en rien que par le ressentiment et l’illusion, légitime tous les crimes et les […]

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Il est bien l’album Break Up. C’est de l’indus mais j’aime bien.

L’abolition de toute conscience. 0

Les tutus du rocher et la saveur du brin d’herbe, les mousses spectrales du matin, les troncs dénués de sève, les blousons des gentianes, les sapinières des corniches, les turbans des monticules, les bergeries odorantes et les étrons des renards. J’adore qu’on traque des indices d’homosexualité chez moi.

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Nous nous amusâmes ensuite. Ils m’apprirent quelques tours de passe passe et je leur enseignais des vérités profondes. Puis nous oubliâmes toute hiérarchie, comme il se veut, et divaguâmes ensemble dans une prairie. Là nous perdîmes le sens même de l’individualité et plaisantâmes dans une abolition de toute conscience.

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Mes deux amis furent merveilleux, l’un lisait sur une carte un sentier intéressant à prendre et l’autre pliait une tente. Pendant ce temps je regardais un peu le paysage encore et mangeais un pépito. Il était convenu que je ne fasse rien, car j’étais le plus doué, le plus riche, le plus fragile. Le meilleur. […]

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Je m’étais réveillé sur un bien beau sommet. J’avais une vallée entière, et des rochers semblaient me dire dans un silence gentil, que je partageais avec des marmottes, que le cours de l’existence était une allée profonde et vaste qui n’avait aucun sens, mais que là était le sens.