Archives Quotidiennes : 23 avril 2025

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Ma maman me disait « quand tu connais pas, tu parles pas ».

Du progrès enfin. 0

Enfin maintenant vous saurez tout sur l’origine de la bipolarité : elle est la résultante symétrique du comportement que les gens ont envers soi. C’est déjà ça.

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Avoue chérie que t’aimerais bien être avec l’écrivain alité que je suis, c’est ton rêve le plus secret.

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Vous voyez comme il suffit parfois de voir les choses du bon côté. Un mec pourrait se suicider à ma place, mais si tu as compris que c’est toi que le monde entier désire et admire (parfois sans le savoir), alors ça change quand même un peu la donne. On vit une époque zarbi oui […]

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Mais rassurez vous une ville constitue un faible pourcentage de son environnement intérieur aujourd’hui, surtout si l’on est bien chez soi et que la ville et les environs ont des avantages. Ca ne me dérange pas plus que ça et c’est un peu pareil partout en France. C’est très zarbi oui oui. Quand je pense […]

Le cageot Anne Vignot, franchement débile. 0

La bêtise d’une opinion pour la vie (soit figée et non multiple ou passagère), comme l’orientation politique le montre, s’explique parfaitement en ce que l’opinion, et rien d’autre que l’opinion, soit la doxa, l’anté-philosophie, qui ne se prouve et ne s’explique en rien que par le ressentiment et l’illusion, légitime tous les crimes et les […]

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La corruption morale et légale est ce qui revient le plus dans l’histoire de mes souffrances. C’est un fait. Pas vrai ?

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Pardon c’était pourri. Je supprime cette merde ou je la laisse pour l’art ? On m’a un peu corrompu l’esprit avec tout ce qui m’arrive. Je n’arrive pas toujours à être MOI-MÊME. On m’a corrompu l’esprit. J’étais un adorable petit garçon que je retrouve parfois quand je m’éloigne. En plus on a salopé ma vie. […]

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Les tutus du rocher et la saveur du brin d’herbe, les mousses spectrales du matin, les troncs dénués de sève, les blousons des gentianes, les sapinades des corniches, les turbans des monticules, les bergeries odorantes et les etrons des renards.

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Nous nous amusames ensuite. Ils m’apprirent quelques tours de passe passe et je leur enseignais des vérités profondes. Puis nous oubliames toute hiérarchie, comme il se veut, et divagames ensemble dans une prairie. Là nous perdimes le sens même de l’individualité et plaisantames dans une abolition de toute conscience.