Vous avez remarqué comme le début de Let There Be More Light des Pink Floyd ressemble à s’y méprendre à celui de Taste in Men de Placebo ?

C’est précisé que c’est un sample sur la wiki, c’est convenu.

Tous les détails, défauts, spécificités, inconvénients de mon appartement et son environnement ont été choisi avec soin. C’est un processus hautement pervers qui participe du processus de destruction originel et factuel de ma personne auquel je n’ai jamais fait que réagir, et qui a été construit par le fou furieux avant que d’être livré en pâture au monde entier afin d’assouvir ses caprices de sale gosse et d’enfant raté. L’intention la plus démoniaque de l’histoire a fonctionné.

L’artiste sera toujours supérieur à un certain public, qui utilise son absence de créativité et celle de l’artiste qu’il projette en lui-même, pour se créer une identité (nécessairement imparfaite). Ce public là est celui que l’artiste manipule le plus.

L’artiste demande au public de réaliser son idéal de vie, afin qu’il puisse vivre de son art. De là lui vient son affection démesurée pour lui.*

  • Ce ne sont là que des processus de narcissisme normaux et admis, nous ne sommes pas véritablement dans la pathologie.

L’artiste.

Le rôle de l’artiste est de se sublimer devant le public (regardez comme je suis plus beau, plus libre que vous) avant que de finir dans sa prison de verre. Ce désir de célébrité demande un accord du public à ce que ses poses et ses clichés leur fassent impression et qu’il s’y soumette, ayant été vaincu par ce qui le dépasse et ce qu’il n’a pu lui même effectuer. Il s’y reconnait un peu et adopte plus ou moins le comportement de l’artiste sublimé. L’artiste sublimé, dans sa prison de verre, demande au public de lui accorder la grâce de son image le plus longtemps possible. Ce système est un jeu de séduction, assez primitif et proche de la parade animale. L’artiste humilie son public, le soumet, mais ne peut véritablement assumer et vivre cet idéal de vie qu’il proposait, qui n’est ni le sien, ni celui du public, mais celui du lieu, parfois cruel et insensible, de la fiction.

Une société de contrôle punit des délits mineurs lorsqu’elle a affaire à des délits majeurs, comme mettre une main au cul d’une femme volontairement dans le métro (ce qui en effet n’est pas très glorieux).*

  • C’est une remarque de valeur générale, ne visant pas un gouvernement particulier dans le monde.

. Ce sont des journaux indépendants Florian, leurs journalistes n’ont pas tous le même avis.

. Ah oui.

. On t’a pas appris ça à l’école ?

. Si mais madame, certains m’envoyaient des articles ciblés, à partir desquels on pouvait dès lors douter de la cohésion d’ensemble du journal.

. Ah.

Une voix venue d’ailleurs.

Il n’y a rien de plus stérile que de prêcher un monde meilleur parmi les reptiliens. Laissons donc, comme de tous temps, les reptiliens aux reptiliens, et l’élite à l’élite. Pour la guerre, peu importe, nous sommes foncièrement incompatibles. Quelle aille bon train et fasse bonne mine, la guerre, oui, la guerre, qu’elle dégomme des reptiliens et fasse grand dommage, ça m’est parfaitement égal. Qu’elle tue innocents, puisque seuls les reptiliens en sont responsables, et moi nullement, que la guerre tue, et qu’on fasse commerce malsain des victimes pour prêcher son égoïsme, peu me chaut. Je n’ai rien demandé, et ne suis responsable de rien, qu’on tue autant qu’on festoie, je n’y suis pour rien.*

  • Ce texte foncièrement immoral au vu de la situation, mais pas dénué d’esprit, et que j’ai hésité à poster, notamment en faisant référence au personnage d’un film humoristique, a cependant une valeur érogène, contre toute attente, qui même dans le ridicule peut trouver sa place. Or bien entendu il n’est qu’une simple ébauche, purement spirituelle.

Les hommes et les femmes ont les cinq mêmes sens, cela leur fait un immense point commun.

L’activité nerveuse, qui est la résultante de la situation d’ensemble d’une personne, s’entretient avec ses pensées. Les deux interagissent et communiquent ensemble. Un être humain est responsable de lui-même.