La jalousie est comme un parfum : l’essence est capturée mais ne dure pas.

Victoire du progressiste Florian face au clone Romain Métairie !

Balle de match pour Florian !

Avez vous remarqué comme aujourd’hui, hommes deconstruits et masculinistes se ressemblent physiquement comme des clones ? Cela n’aurait il rien à voir avec tout cela ? Notre époque me fait souvent l’effet des sept vieillards de Baudelaire.

Romain Métairie, de Libération (le match est truqué).

Je ne viole pas la loi et je ne vois pas la partie adverse Roman Métairie. Et si tu préfères les couches à merde au progressisme, tant pis pour toi.

Encore un homme dix mille fois moins deconstruit que moi…

Ce qui était acquis dans le progressisme il y a plusieurs décennies a littéralement régresse au cours des décennies suivantes et jusqu’à aujourd’hui. On est retourné en arrière. Quant au progressisme contemporain, il se pose exactement les mêmes questions qu’il y a des décennies. Tout cela laisse penser que tout est parfaitement stable et que le progressisme va et vient sans jamais aboutir, ce qui par ailleurs est impossible. On assiste à un ballet de conservatisme, de progressisme et de fascisme sous toutes leurs formes, nouvelles en raison de l’évolution – qui est uniquement techno scientifique – des civilisations. Tout revient au même mais pas à l’identique. L’universel et l’éternel* persistent toujours quelque soit le contexte, mais bonne chance pour les trouver !

  • Qu’on pourrait appeler clacissime *
  • Le clacissime est il menacé par l’évolution techno scientifique ?*
  • J’hallucine Florian, ils te persécutent et tu les sauves, ils te pillent et tu leur donnes tes secrets *
  • Ils s’en foutent Florian *
  • Enfin bon t’as dit que le fascisme avait toujours le vent en poupe *
  • Hahahaha !*
  • C’est moi le maître des marionnettes *
  • Elle est pas belle la matinée ?

À moins que 🤷‍♂️… Espérons.

There is no alternative.

  1. Secte du troisième millénaire
  2. Nazisme
  3. Fascisme

Mieux vaut le 3 que le 1. C’est un peu triste 😥 mais nous n’avons pas le choix.

Hm..

On dirait des pets de vache avec une enveloppe charnelle autour. T’appuies dessus et le climat se réchauffe d’un degré.

Nietzsche est sévère dans sa critique du pragmatisme. Il dit qu’au bout de deux ou trois générations, l’idée de faire le bien est la seule chose qui persiste, et que le bien a été perdu en cours de route. Perdu dans la forêt pourrait on dire. J’ai toujours pensé qu’il avait un point commun avec Rousseau. Si ce n’est que la philosophie de Rousseau sourit là où Nietzsche ricane.

Tous les chemins mènent à Rome et l’avenue Foch mène au bois de Boulogne !