Maison de chair C’était une sorte de poisson marinDont la mer s’étalait dans les ventresDes terres et à jamais où l’on souffrait sur des lignes désertesLes matières étaient déliées et on se souvenaitD’étendues sereines où tout était dissimuléOn n’avançait jamais qu’immobile et on ne pouvaitQue trop peu courir et s’exaspérer en champ libreOn ne donnait […]