VIE ET MORT D’UNE VILLE Je traîne une colère, c’est idiotMais pour qu’elle disparaisse il faut qu’elle s’éveilleQu’elle chante un chant possédé, plus froid que le gelMoins instruit qu’un ignorant, bouillantUne corne de ciel cendreux Je déchire une page pour que tous les murs de chauxToutes les chimères du ciel, les soleils filantsLes crevasses invincibles, […]