Dans le fond je n’ai pas à me soucier de pardonner à des gens qui me déplaisent, puisqu’il y a des centaines de milliers de gens dans le monde qui me plaisent et à qui je n’ai rien à pardonner, pas vrai ?
Je pardonnerai volontiers toute mise en cause de personnes que je juge peu ou pas responsables de ma situation ainsi que de la leur, quand bien même ils auraient plus ou moins fautés*. Je n’ai aucun problème avec cela, c’est peut-être vous, nobles âmes qui culpabilisaient à cette idée, puisque d’ailleurs personne ne s’est présenté à moi ni même ne m’a demandé pardon.
Et quand bien même il y aurait une faute conséquente, et imaginons que nous tenions une relation sur un temps long, iels n’ont qu’à me la révéler plus tard suite à un commun accord.
L’individu n° 2 n’est absolument pas un ami d’enfance, pour la raison que nous ne nous sommes pas connu pendant l’enfance. Nous étions vaguement proche en troisième avant qu’il ne commence son entreprise au lycée, bien que je fus proche d’autres gens.
Ce qui m’affecte le plus, c’est de prendre conscience que des gens puissent être si stupides dans un monde si extraordinaire. Il faut croire que c’est ma philanthropie et mon optimisme qui parlent finalement, et que je croie en l’humain et à l’avenir ! Mais j’avoue que je suis assez difficile, l’humain à tendance à me désolidariser du monde de l’immanence. C’est l’un de mes paradoxes.
Origine Moyen anglais : de l’ancien français « grant », « grand », du latin « grandis » signifiant « adulte, grand, immense ». À l’origine, ce terme désignait les liens familiaux (« grand », quatrième sens de l’adjectif, suivant l’usage de l’ancien français) et servait de titre (« the Grand », traduction de l’ancien français « le Grand ») ; d’où les sens de « de très haut rang » et « d’une grande importance ».
Island
Le mot īegland vient de l’ancien anglais īeg « île » (dont la racine signifie « aquatique, arrosé ») + land. Le changement d’orthographe de la première syllabe au XVIe siècle est dû à une association avec le mot sans lien de parenté isle.
Étymol. et Hist. I. 1875 subst. Somalis (Lar. 19e); 1883 adj. (Rimbaud, loc. cit.); 1883 ling. subst. (L. Rinn ds R. africaine, p. 411). II. 1970 somalien (Rob. Suppl.). De Somalie pays du nord de l’Afrique, bordant le golfe d’Aden et l’océan Indien; II suff. -ien*.
Quand Rimbaud toucha à Aden, un jour d’août 1880, il avait 26 ans. Cette ville coloniale et brûlante de ce qu’on appelait alors l’Arabe, esquissée au fond du cratère d’un volcan éteint, allait devenir son port d’attache pour les onze années suivantes, presque le dernier tiers de sa vie, jusqu’aux mois précédant sa mort en 1891.
Soma.
Emprunté du grec sôma, « corps ». 1. Marque de domaine : biologie. Chez un être vivant, ensemble des cellules de l’organisme, à l’exception des cellules reproductrices.
D’où vient le mot soma ? Étymologie.
Soma est un mot sanskrit védique qui signifie littéralement « distiller, extraire, saupoudrer », souvent employé dans le contexte des rituels. Son homologue avestique est haoma.
Soma, dans l’hindouisme moderne est le dieu de la lune. C’est une divinité vitale car elle donne vie aux végétaux et provoque la croissance des plantes.
Qu’est-ce que le soma en psychologie ?
La psychologie somatique est une approche holistique de l’être humain qui est importante pour le corps, l’esprit et le psychisme sur un même niveau. Le terme provient du grec « soma » (corps), qui combiné au terme « psychologie », définit la branche de la psychologie qui connecte le corps à l’esprit.
Aden.
Le prénom Aden signifie « ardent » ou « petit feu ». Ce sens est issu de son origine galloise, où il est dérivé du mot « âd », qui signifie « feu ».
Le prénom Aden trouve son origine dans l’hébreu ancien, où il est associé au mot « Adn » signifiant « paradis » ou « lieu de plaisir ». Cette racine évoque un espace de beauté, de paix et de félicité, souvent relié à des images d’un jardin idyllique.
Le préfixe aden- vient du grec adḗn, qui signifie « glande ». Cette racine grecque est à l’origine du mot adénoïdes, ces masses hypertrophiées de tissu lymphoïde situées dans la partie supérieure du pharynx, qui obstruent souvent la respiration par les voies nasales.
Aragon est le poète de la convenance, des brins de muguet et du premier mai (bien qu’il ait pu faire de la poésie en prose plus élaborée), il plait au peuple, aux congés payés, aux plages du sud et à Saint Germain (des prés). Eluard entame un processus d’hybridification plus étrange auquel le peuple doit accorder plus de soupçons, ne sachant exactement d’où provient ce mystère et cette étrangeté qui ne l’atteint peut-être pas. Quant au dernier, il frise un inconnu inintelligible, illisible, comme une rayure vivante sur les bouquets de lavande du premier.
L’affranchissement des chaines causales bouddhique, la cessation du désir dans la félicité permanente (et l’abolition du cycle de réincarnation), l’omniscience de Living Stone (je fais exprès) qui n’a plus besoin de se déplacer*, voilà bien des rêves que l’humain a eus et qu’une certaine science matérialiste cette fois voudrait réaliser.
Vous remarquerez que les problèmes de natalité et de transports sont résolus par ces faits.