Oui tel Gautama j’ai dissolu mon moi, il y a bien longtemps. Mon drame est qu’il y a toujours des moi à mon contact, et cela est le drame du monde entier. Vous ne ferez jamais une civilisation de sans moi. Mon moi n’est plus, il est devenu un lointain décor, puis un lointain souvenir, puis une vague impression. Étant être de dissolution, que pouvais je donc me mettre en valeur sans outil et sans moi ? Cela me fut impossible.

Là où je suis génial, c’est que je cible parfois le particulier en tenant des propos généraux. Mais je ne suis jamais dans l’opinion, je suis toujours génial. Il y a un fond en moi qui sait tout, tout le temps. Et cela s’appelle le jeu, cela prête à rire, cela est une singulière sortie de l’ego. C’est parler de soi sans jamais parler de soi. Car cela fait bien longtemps que mon moi a disparu, et au lieu d’en faire un commerce, j’en ai fait une distraction.

Les inversions les plus invraisemblables ont eu lieu à mon égard. Sournoises et invisibles, mais ayant eu l’impact et la volonté de crimes de guerre contre moi. La barbarie, l’infamie, perpétrées en pleine conscience depuis des décennies. On s’est servi de mon corps, de mon être et de mon travail pour commettre le crime. L’œuvre des pervers narcissiques, qui dans l’ombre, fomentent leur complot pendant des années en institutionalisant le mensonge. C’est par la pitié envers leur misérable personne qu’ils agissent et ils ont tellement peu à offrir qu’ils volent et demandent tout. Il leur faut aussi assouvir le mal pour donner sens et bonheur de fortune à leur vie.

Que signifie Cagayan ?

Le terme Catagayan, « l’endroit où pousse le tagay », a été abrégé en Cagayan. Cependant, les linguistes affirment que cagayan provient d’un mot ancien, aujourd’hui disparu, signifiant « rivière » . Les variantes de ce mot — karayan, kayan, kahayan, kayayan, kagayan et kalayan — signifient toutes « rivière », en référence à la rivière Cagayan.


Tagay est l’acte de verser de l’alcool dans votre verre à shot et parfois l’acte de boire, mais ce n’est pas une expression qui est criée ou prononcée avant de boire comme « kampai » ou « à votre santé ».

Signification et étymologie du prénom Isabella

Le prénom Isabella tire sa source de l’hébreu « Elisheba », qui évoque la promesse divine à travers « El » signifiant Dieu et « sheba » pour serment ou plénitude.

Le rire dépend de son rapport à la violence et à la justice. Selon ce rapport des groupes de rire peuvent se former. Il y a un rire qui aime la violence et la laideur, car il est déçu par la vie, sa valence l’oriente vers sa conviction que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Son désespoir est aussi grand que son rire aime la violence. Il perçoit notamment l’intimité comme quelque chose de sale et grossier. Une fois de plus il est contre le corps et pour la primauté de l’esprit *. Habitué à peu, ce qui l’engage dans son rire est la misère de son prochain, l’incapacité à s’émanciper et un goût féroce de l’échec et de la défaite.

  • L’esprit est ce qui reste quand un changement n’est plus possible, quand un espoir est brisé. À vrai dire cela dépend de la finitude humaine. Le corps étant destiné à dépérir, il est inférieur à l’esprit. C’est à partir de là que deux consciences se dégagent : celle que seul l’esprit pourra survivre au corps et celle que le corps peut ou a des chances d’être éternel aussi.

Il y a le rire de l’acteur et le rire du spectateur. L’un est vif, libre et pleinement lui-même. L’autre est assis*, courbé et dans l’ombre.

  • Voir sous le lit, dans le placard.

Qu’est-ce que l’hédonisme ? L’hédonisme est la recherche d’un bonheur fait de plaisirs qui se soient pas de fortune ou bien des substituts. Les philosophes Grecs étaient férus d’autonomie et recherchaient un bonheur sans dépendance, un bonheur vrai. Cette recherche de la vérité dans le bonheur les hantait. Epicure situait le plaisir comme une relation au sens fondamental de l’existence, et voyait dans le plaisir véritable ce qui s’écarte de toute dépendance, soit un plaisir atténué, de faible intensité – c’est ce qui me dérange un peu – mais qui puisse se renouveler par lui-même, en accord avec le cosmos. Cela semble un peu fade dans notre civilisation contemporaine, mais je veux bien croire qu’il y avait un certain mystère que l’on ne perçoit pas directement.

Cette série s’appelle : Toute chose a une fin.

J’ai rencontré une société de lettristes. Les uns disaient c’est à cause du chapeau et les autres c’est à cause du bigorneau. Le maire du village qui leur avait cédé un local coupa l’électricité. Un lettriste dit alors : dans le camping sauvage pousse de la sauge à tous les âges.

J’ai matché avec une fille qui habitait dans un beau château. Il y avait une écurie à l’ancienne derrière. Les chevaux faisaient ha ha et les blaireaux ho ho. Nous nous sommes mariés près de la meule et du hameau. Les corbeaux faisaient hi hi et les lapins ha ha. Il n’y eut jamais rien de nouveau.