L’amour ? Se nourrir l’un l’autre.

I work more like a cat than a dog.

La muse hic adoucit les moeurs.

Lia.

Les torts dus.

Le poli amoureux.

La rose perdue.

Voudriez vous, près de la fontaine éclose
Vous acheminez vers mon âme enclose
Elle souffre de ne vous voir épanouir
Vos charmes dans mes longs soupirs

Voudriez vous suspendre le temps
Par la grâce précise de tous vos instants
Et qu ensemble nous soyons deux oiseaux
Soyeux et salivants d’amours plus beaux
*

Oh que nous fussions à jamais ensemble
Sans qu’aucune balise ne fasse dissemblance
À nos accords magiques et subtils
Qui dansent et frémissent dans nos pupilles !

  • Voilà.

Le coucher de soleil romantique de Baudelaire !

Au début je pensais que chaque artiste qui s’adresse à moi m’avait entrevu à Paris isolement et qu’il avait décidé de chanter ou d’écrire sur moi, et que chacun d’entre eux devait avoir dit par la suite : « Quoi ? Toi aussi tu t’inspires de lui ? ».

Eh oui Juliette, Orelsan et Benjamin.

Le lasso, Ferme les yeux Marion* et Ça n’en vaut pas la peine, les trois fins de cette série pour les gosses de l’époque.

  • C’est bien comme cela se prénomme ?