Rien.

Dans la tourbe est le tain qui s’enfonce
Le miroir dépeint l’essentialité
Des menottes de l’indicible

J’entre dans l’heure où s’accordent
Des refrains de touches paisibles
Le dégradé est un écrin loisible

Dans l’écrit qui se veut illisible
Je lis mon empreinte qui se laisse vivre
Dans l’amour serein de ma coquille

Il faut que je trouve un programme pour faire des B.D. si vous voulez comprendre ce qui me fait rire.

L’esprit primitif se constate à merveille dans la vision du monde par le prisme de l’esprit compétitif des gens. Comme si on avait filmé deux personnes au hasard, et que, pris dans le manège de la bêtise, il eut fallu en faire une compétition.

Ce groupe là était expert en bouffées délirantes je m’en souviens c’était leur principale qualité au-delà de tout engagement politique. Comme les Ramones.

BIZARRE (pour les jeunes…)

N’oubliez pas que tout ce que vous me demandez annule ce que vous aimez.

Pour répondre aux questions de métaphysique en une phrase : si je n’avais pas été violé, je n’aurais probablement pas eu de troubles psychiques, je ne serais pas tombé dans le tabagisme, et je n’aurais pas eu d’affections neurologiques. Donc maintenant je m’amuse comme je peux, selon ma nature que vous trouvez irrésistible par ailleurs.

La moraline agit bien souvent quand une personne n’a plus conscience que ce qu’elle fait est fondamentalement mal. Le caractère infantile de ce comportement est évident.

Le problème ce n’est pas l’inquiétude, c’est l’inquiétude permanente, formule qui a été très bien trouvée il y a quelques années pour parler de l’homme contemporain. Or elle est signe de stérilité lorsque l’inquiétude occasionnelle est signe de fertilité.

J’ai mangé des chips à la relation.