Le nom cobalt provient du mot allemand kobold, qui signifie gobelin . Il lui a été donné par les mineurs du Moyen Âge qui croyaient que des gobelins malicieux remplaçaient les métaux précieux de leur minerai par une substance qui dégageait des fumées toxiques lors de la fusion.

Le cobalt est un élément chimique ; son symbole est Co et son numéro atomique est 27. Comme le nickel, le cobalt ne se trouve dans la croûte terrestre que sous une forme chimiquement combinée, à l’exception de petits gisements présents dans des alliages de fer météorique naturel.

Plus un robot est impeccable dans sa servitude à l’homme, plus il le déshumanise, monsieur Assimov.

Je n’étais pas au courant de ma situation : vous réalisez alors, à quel point tout débat était fou ? Tout a été fait dans l’ombre et dans mon dos. Votre débat, pour ceux.lles qui ont débattu ou vos simples pensées étaient par conséquent totalement imaginaires.

Votre détecteur de langage axé sur la tolérance et l’égalisation, euh l’égalitarisme, ne semble pas percevoir toutes les nuances de registres, de style, de références à des auteurs singuliers que j’emploie.

Ma journée avait très bien commencé, je devais écrire un très beau texte mais je ne l’ai pas fait, puis il y a eu un tournant et ensuite elle a mal tourné, un mauvais tournant, semble dire cette maladresse. Désolé pour mes supporters.

Dans le livre ouvert dort l’impératrice Eugénie.

Tout peut entrer dans un moi dissolu, il est une éternelle fenêtre ouverte, un éternel oui au monde. Il est un Louvre où les bijoux d’Eugénie sont à tout le monde !

Oui tel Gautama j’ai dissolu mon moi, il y a bien longtemps. Mon drame est qu’il y a toujours des moi à mon contact, et cela est le drame du monde entier. Vous ne ferez jamais une civilisation de sans moi. Mon moi n’est plus, il est devenu un lointain décor, puis un lointain souvenir, puis une vague impression. Étant être de dissolution, que pouvais je donc me mettre en valeur sans outil et sans moi ? Cela me fut impossible.

Là où je suis génial, c’est que je cible parfois le particulier en tenant des propos généraux. Mais je ne suis jamais dans l’opinion, je suis toujours génial. Il y a un fond en moi qui sait tout, tout le temps. Et cela s’appelle le jeu, cela prête à rire, cela est une singulière sortie de l’ego. C’est parler de soi sans jamais parler de soi. Car cela fait bien longtemps que mon moi a disparu, et au lieu d’en faire un commerce, j’en ai fait une distraction.

Les inversions les plus invraisemblables ont eu lieu à mon égard. Sournoises et invisibles, mais ayant eu l’impact et la volonté de crimes de guerre contre moi. La barbarie, l’infamie, perpétrées en pleine conscience depuis des décennies. On s’est servi de mon corps, de mon être et de mon travail pour commettre le crime. L’œuvre des pervers narcissiques, qui dans l’ombre, fomentent leur complot pendant des années en institutionalisant le mensonge. C’est par la pitié envers leur misérable personne qu’ils agissent et ils ont tellement peu à offrir qu’ils volent et demandent tout. Il leur faut aussi assouvir le mal pour donner sens et bonheur de fortune à leur vie.