Champ. Donne-moi ce vif plaisir, égosilléComme sont les tableaux que tu aimesLa salve n’est rien qu’un mortier abandonnéEt dans tes haines des prairies déconstruites Dans le mélange des soifs, seul ton poidsMe désaltère et me vide de mes fluidesExaspérés de n’être que ce champ électriqueEt humide comme des câbles télégraphiques Le champ premier, où les […]