Arbres d’automne (Egon Schiele) Tu n’es rien ; mais lui le paysage te dit le mal d’une psychoseTu n’es rien mais la lueur est si rouge ; le soleilEst un tremplin vers ces infinies ruelles ; rouges Tu es seulement le pion qui s’afficheLe pion qui s’imprègne et s’infiltre la grande messe des riensDes siens […]