Une harpie m’annule La main posée de travers Sur un visage dont les cordes tendues Vacillent dans une stridence Une avanie d’aigus Cette poétesse jamais la nuit ne Se tait dans l’étrange vase Où fleurs capitonnées s’embrasent Avec son cerveau électrique Elle concocte des bouquets De chair et de marbre Comme des élastiques obstrués […]