feriae flores

  Tu n’auras plus mal quand la nuit tombera Quand les filets de sève Auront englouti les oreillons Et rangé aux écrous les brûlures Tu n’auras plus mal quand Rangées, pliées, dégluties La nuit et son aurore auront Salivé et digéré La violence

  Nous voulons la révolution Nous voulons l’élastique cité Où la tension ne soit pas un feu amorti Par des masses ignares Masse de nuit réfléchissant d’horribles lueurs Nous voulons le seul espace, la seule constitution Où le marasme et la lueur n’ont pas lieu Marre. Asthme.