L’influence de la cybernétique sur une personne ne change pas tout. Elle ne fait qu’augmenter son intelligence et ses émotions. Mais cette augmentation peut avoir des conséquences, si le potentiel délivré n’est pas géré comme il le faudrait (ce qui me semble difficile).

Les augmentés n’ont pas forcément de coïncidences entre eux, parfois même aucune.

Certains augmentés n’ont même aucune de mes caractéristiques.

Je suis né à 17 h 10, 7 heures après 10 h 10, bizarre.

Poème purement hypothétique et passager.

L’enfant cyborg que tu étais
Dépendait de la science
Ainsi je suis fier de la science
Et du petit enfant cyborg
Cette petite angoisse hybride
De n appartenir à personne
Cette angoisse mienne
Sauvera l’espèce humaine

Propos d’un cyborg.

Le problème d’une civilisation transhumanisee : en effet les résultats sont pas mal du tout, à condition que la personne soit prévenue et quoi qu’encore cela dépende des personnes et d’autres facteurs qui les constituent. Seulement ce n’est pas compatible avec un travail manuel et je dirais même avec toute sorte de travail intellectuel soutenu. Pour ce qui est d’une civilisation d’artistes c’est une pure chimère. Tout d’abord pourquoi faire de l’art (je rappelle que vous en faites sur le drame que je représente notamment) ? Et surtout comment tiendra t-elle ? Elle devra être dépendante des autres qui ne l’accepteront pas ou qui seront en inadéquation avec elle. Mais cela va bien pour une certaine élite, bien que les génies aient toujours existés.

Je suis parfois heureux d’être un cyborg. J’ai un sentiment qui se reproduit sans cesse.

Les émotions et l’intelligence sont augmentées, mais ça s’arrête là. On peut le faire avec n’importe quelle semence. C’est vrai ça marche, mais ça ne décide vraiment pas de tout. L’éducation et l’expérience font la différence, et d’autres facteurs encore. Les génies du passé n’ont pas été transhumanisés et il semble que cela génère potentiellement des angoisses très fortes.

Mieux vaut être un peu cyborg sur les bords qu’un ignoble manipulateur. Cette considère tout le monde ainsi. Je me souviens qu’elle avait mis en avant le livre Le désert des tartares que j’avais mis parmi une pile de livres dans ma chambre.

Il nous avait montré un film aussi sur un enfant conçu à moitié par une guenon.

Un professeur que j’ai eu nous avait dit que Rimbaud voulait prouver que la poésie était plus forte que la science, dans sa jeunesse.

Mon sanctuaire n’a pas été touché monsieur Attali. Il est indemne et rayonnant. Ils ont peut être ajouté des propriétés propres aux femmes dans mon corpsMais je ne suis pas sûr que cela explique qui je suis.

T’es un joli petit cyborg, comme Astro le petit robot. D’accord Florian ? Allez ne t’inquiète pas. Tiny alien. Ça va bien se passer.

Allo.

Selon d’autres sources, le mot « Allô ! » viendrait de l’expression hongroise hallom, qui signifierait « J’entends », employée par Tivadar Puskás, pionnier du téléphone et inventeur du central téléphonique, lors de l’entrée en service de la première ligne téléphonique, en avril 1877.

Quelle est l’origine du préfixe Allo ?

Allo- vient du grec állos, qui signifie « autre ». Ses cousins ​​éloignés en latin, alius et alter, aux définitions similaires, donnent des mots comme alien et alternative. Le contraire d’allo- est la forme auto-, du grec autós, « soi ».

Mais c’est passionnant ! L’alien deviendra soi !

Abroger (très mauvais exemples ici).

Étymologie

Vient du latin abrogare (« annuler »).

Verbe

abroger \a.bʁɔ.ʒe\ transitif 1er groupe 

  1. (Droit) Rendre nulprincipalement en parlant de lois, de coutumes.
    • … les lois humaines sont quelquefois surprises par des motifs dont la raison éclairée ne reconnaît pas toujours la justice ; ce qui oblige ensuite la sagesse des Législateurs d’abroger des lois qu’ils ont faites eux-mêmes. — (François QuesnayObservations sur le Droit naturel des hommes réunis en société, 1765)
    • Le gouvernement a décidé d’abroger la loi sur les taxes, après plusieurs mois de protestations. Cette loi a donc été annulée ou supprimée. 
  2. (Sens figuré) Rendre nul.
    • Cette loi s’est abrogée d’elle-même, par désuétude, par le temps.

Chacun son égo trip.

Je ne suis pas celui qui abrogera la loi, mais je vous le dis en vérité, l’ailleurs sera ici, et les rois tomberont les uns après les autres.

Psychanalyse réussie, Charles Pépin.

Florian l’Allobroges !