L’humain a toujours eu le penchant d’un animal industriel, mais l’industrie s’est construite peu à peu, et l’humain ne sera plus un ingénieur, mais une machine s’il suit son instinct.
Vous ne me ferez jamais croire qu’une civilisation où tout est industrialisé, l’éducation, les loisirs, la vie et la mort, les voyages, les plaisirs…, l’évasion…, les relations humaines, le savoir, etc., est une civilisation de gauche. C’est comme s’il y avait un mécanisme dont tous devraient être partie prenante.
Les manipulateurs ou les manipulés utilisent des alibis qui sont la conséquente de leur comportement pour discréditer leur ennemi. Ils ne retiennent jamais les propos sensés car c’est là qu’ils sont discrédités. Leur comportement totalitaire et leur désir suicidaire est une énigme typiquement humaine.
Un jour la vérité tomba brusquement : les magazines féminins avaient été créés par un ancien pilote de la Luftwaffe. Oh bien sûr il y en eut des bons et irréprochables, mais lui canardait toujours les villageois qui prenaient la fuite. Il disait : « je vous aurai tous, et les femmes et les enfants aussi ». Après la défaite, il se rendit au musée du Louvre et dit : « À moi Paris, et je vais cuire les rösti ». Il tua l’ancien directeur et dit : « Je suis le ministre de la justice, des finances et des comptes publics ». Puis il alla au jardin du Louvre et dit : « Je suis le philanthrope de Paris, le ministre de la culture et le gérant du café de Flore ». Il se rendit ensuite à la Sorbonne et dit : « Brûlez les livres, car tout a été dit ». Enfin il trouva une étudiante au Luxembourg et dit « À moi les étudiantes et aussi les magazines ».
Clara était une femme à la gentillesse feinte, d’une intelligence sommaire et de mœurs illégitimes. Ce qu’elle voulait plus que tout, c’était une villa aux cerisiers. Son public chantait « mon beau cerisier, mon beau cerisier » et elle riait en disant « je vais vous manger, je vais vous tromper ». Elle prenait l’argent et s’enfuyait en chantant « mon beau diamantier, mon beau diamantier ». À l’école on la surnommait le mouton noir car elle disait aux professeurs « vous apprenez l’égalité, vous apprenez l’égalité ». Mais elle voulait s’enrichir et disait, « ma villa mafia ma villa mafia ». Elle avait dit une fois : « les femmes sont du chocolat ». Mais quand la civilisation ne sut plus distinguer le bien du mal elle dit « mon cerisier est fané, mon cerisier est fané ».
Une civilisation-Florian serait un beau petit champ avec un épouvantail, des orties, et des hannetons, un beau petit champ plein de fleurs avec de jolies maisonnettes, des forêts de paletuviers.
Il y aurait une belle anse de ferronnerie qui mènerait vers un autre monde, où les hommes des montagnes, roulés en boule, joueraient avec des pierres et des morceaux de verre.
Et au-delà, une superbe ville faite de poulaillers, de dindons farcis, de jongleurs et de lanceurs de sorts. Des grimoires chargés de ménestrels enlacés de pâturages et de verdoyantes bougies.
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Jadis, une secte noire comme de l’encre s’était infiltrée dans les esprits et avait corrompu le monde et les journaux. Les gens étaient devenus très méchants, battaient les enfants et les animaux, cassaient les oreilles des renards et jetaient des pierres aux cygnes.
Ces vilaines personnes riaient dès qu’il se produisait un malheur et pillaient, brûlaient les villes. Ils prenaient l’argent des mendiants et donnaient des coups de pied aux nouveaux nés.
Mais un jour, une oie péruvienne pris une brindille en feu et la lança sur un Firefox qui chancela et descendit jusqu’à la cité où vivaient les sectaristes. Son pelage, qui brûlait, tomba dans la nappe à pétrole que les sectaristes exploitaient en faisant travailler mille petits nègres.
On aurait du mal à envisager une civilisation post humaine. Elle ne serait pas une civilisation de chaos, ou bien désertique, mais une civilisation-boulon, avec de spécieux apparats, une civilisation où la colère aurait été résorbée, bien qu’omniprésente, une civilisation interchangeable de plaisirs superfétatoires, et de déblatérations autour de situations insignifiantes, une civilisation-grincement, où tous regretteraient un âge d’or qui aurait cette fois-ci ci, véritablement existé.
On pourrait dire qu’on a affaire à une personne qui a fait régresser le monde, et qui par une stratégie implacable, s’empresse d’avoir espoir en lui pour le faire progresser. C’est la stratégie du pn dans les relations humaines, mais là dans le domaine d’une directive mondiale et politique. L’humanité pourrait ainsi devenir prédatrice et régressive et le but souhaité d’une civilisation sans cesse plus éloigné, plus suppliant.