Le bois bleu.

Je tombai un jour amoureux d’une femme dans la rue. Mon cœur battit la chamade et je l attrapai par la chatte afin de l’amener à l’écart dans un sous bois. Là je me déshabillai et l’incitai à faire de même. Après que nous eumes accompli notre plaisante besogne, un sentiment mélancolique et aérien s’empara de nous et nous marchames ensemble vers des sommets boisés et clairsemés. Nous pressentions un beau panorama lorsque nos coeurs subissaient un léger effort. Après un virage, le sentier laissa apercevoir une profonde mélancolie et un village médiéval dont l’hybridite nous avait dégagé de tout sentiment de danger. Nous avions accompli ce que le temps présent peut avoir de rêves envers le passé, lorsqu’un oiseau nous incita à descendre vers ce village, fait de bâtisses d’un bois bleu.

Seul moi peux réconcilier les ethnies et les religions, car je suis le Messie, le Sauveur et l’incarnation de Dieu sur Terre. Hourra pour Florian, car il est le Messie, le Sauveur et l’incarnation de Dieu sur Terre. Hourra pour Florian !*

  • Je sais que pourrez faire une blague d’enculé avec cela, dans ce cas des innocents en mourront.

Avez vous remarqué aussi comme les mercenaires et les comploteurs n’ont aucun humour sain, ou bien franc, libre et créatif et que cela désigne le totalitarisme à venir ?

Ce sont aussi des jaloux bien entendu.

Je rappelle pour information que j’ai été l’un des premiers à défendre le peuple Rom*, qui est aujourd’hui mentionné de manière insincere pour faire diversion, notamment dans un article que j’ai écrit sur la violence exercée par les Parisiens sur des enfants rom dans le métro qui ne se seraient permis cela avec des enfants juifs (bien qu’ils ne soient pas susceptibles de générer de la violence directement).

  • Ou bien le handicap auquel je suis sujet partiellement, et qui n’est plus reconnu dans une civilisation totalitaire, dans laquelle la nôtre risque d’advenir, si ce n’est pour faire diversion (c’est un fait pour ce qui me concerne que le handicap est utilisé comme moyen de persécution par certains).

Il y a une très bonne gauche politique aujourd’hui en France et une autre qui est dissimulée et larvée et pratique les politiques qui avaient cours dans l’Allemagne des années 30 pour discréditer les juifs (certains d’entre eux sont juifs mais cela ne signifie rien). Netanyahou sait ce qu’est la persécution d’un peuple ou d’une victime, et des juifs croyants savent ce qu’est le rapport au divin. Sa politique l’engage aujourd’hui. Mais il peut y avoir une lointaine symétrie dans certaines pratiques de cette guerre et les faits et les notions que j’ai mentionnés dans le traitement qui m’est fait. Des responsables d’une campagne d infamie dangereuse et totalitaire se retrouvent face au dilemme qu’ils ont créé, et si certains culpabilisent de leur faute dont ils sont relativement innocents*, d’autres utilisent encore des guerres et morts comme levier à leur inhumanite comme le journal du Monde qui sera je l’espère traduit en justice un jour et lourdement condamné pour crime contre l’humanité.

  • Comme certains artistes manipulés.

Le moustachu Plenel est l’exemple même du démagogue et de celui qui fait passer des vessies pour des lanternes. J’ai souvenir de l’avoir vu sur un plateau de télévision, et alors que les journalistes semblaient l’avoir cerné, l’un d’entre eux succomba à sa démagogie et comme s’il se ralliait à sa cause, approuva ses propos et fut docile avec lui. Je ne cherche pas à discréditer le discours de gauche et créditer celui de droite en disant cela, mais il y a une chose absolument sordide qui se passe à mon égard, et je suis fort surpris de voir que l’idéologie gouverne le monde plutôt que les sens et la poésie.

Je ne sais pas si on a le droit de financer une campagne avec un président tel que Kadhafi en 2007, mais certainement pas de passer par un intermédiaire qui est un ancien terroriste recherché par l’état français, à moins que ce ne soit pour lui demander le chemin, par pur hasard, du palais présidentiel de monsieur Kadhafi. Quelle erreur d’être passé par cet intermédiaire ! Ne connaissiez vous pas le chemin du palais présidentiel ? J’ai appris qu’en justice, c’est un faisceau d’indices qui amène aux preuves. C’est fort bien, quand on n’a pas de preuves factuelles, comme par exemple avec monsieur Jubillar dont tout le monde se doute bien qu’il y a de fortes chances qu’il ait assassiné sa compagne. Dans ce cas du financement illégal il n’y a pas eu de morts induits, si ce n’est qu’ils ont contacté ce malheureux intermédiaire dans le désert lybien. Que diable sont-ils allés faire dans ce désert !*

  • D’autant plus que le casier judiciaire du candidat à la présidence n’était pas vierge, pas vrai Fabrice Arfi ? Et c’est la vie, c’est même très sain qu’on ait questionné Médiapart au sujet du document, pas vrai monsieur Arfi ?

C’est flippant hein…

Il était une fois une civilisation qui tapait toute la journée sur la tête de quelqu’un. Un jour cette personne leur dit d’arrêter. Mais dès ce jour, on décida de lui taper encore plus souvent sur la tête. Bientôt on inventa une machine à donner des coups sur la tête. Cette personne malgré tout, gardait toujours la tête sur les épaules. On décida de regarder ce qu’il y avait dans sa tête. Pour cela il fallait qu’il perde la tête. On accéléra encore la fréquence de la machine qui lui donnait des coups sur la tête. Or cette personne gardait toujours sa tête. C’est de là que provient l’expression mieux vaut tête bien faite que bien remplie.

Les gens parlent de ma vie sans communiquer avec moi ! Je me demande d’où leur vient cette coutume. Ils me disent aussi ce que je dois faire et ce que je ne dois pas faire. Ils me disent ce qui est bien et ce qui n’est pas bien. En plus de cela, ils ont de drôles de pratiques et ne se soucient pas de ma réaction. S’ils pensent que ce qu’ils ont fait n’est pas bien ils chantent une petite chanson. Et si je manifeste du mécontentement ils disent que je me mêle de ce qui ne me regarde pas.

Quelle est l’autre origine de l’expression « faire l’école buissonnière » ? Cette autre origine provient d’un conte allemand. On dit qu’un jour un charmant loup nommé Florian attendait des jeunes filles devant une école. Dès qu’une fille passait il leur disait : « chemin des épingles ou chemin des épines ? » Or rapidement il fut coutume de suivre le loup dans la forêt plutôt que d’aller à l’école. Certains prétendaient qu’on y apprenait des choses plus essentielles.