Le lavage de cerveau les a totalement désensibilisés de la douleur faite à autrui, ils ne savent même plus ce qu’ils font. Faire passer des forfaits pour quelque chose d’enfantin en est un signe flagrant.
Il créera des légions de fantômes et de faux semblants. Le mal aura tellement pris racine en l’homme que l’humanité sera désertee. Méfiez vous, car c’est la mort qui vous attend. Le climat se réchauffera et les villes seront détruites.
Méfiez vous, car satan n’a aucun sentiment et aucune vision. Seuls les instincts les plus vils l’animent, mais il s’entourera d’esprits brillants pour parvenir à ses fins.
Le satanisme a perdu d’avance. La seule chose qu’il annonce, c’est la fin du monde. Il ne peut donc progresser, mais seulement dégénérer.
Les nazis sont donc revenus, qui l’aurait pensé ? Cela s’est formé en France cette fois ci*, d’une secte satanique initiale probablement. Le devoir de mémoire a été utilisé, pour accomplir un régime similaire, un régime de mort, un régime ou la pulsion morbide a remplace celle vitale. La pulsion revancharde. Mais contre quoi cette fois ci ? Contre un idéal de bonheur et d’humanité ? Contre l’absurdité du fondement humain ? Voyez comme l’aspect suicidaire est clairement dévoilé. Un suicide face à l’échec de l’humain d’être un humain. De quel bas fond a pu provenir une telle idée ? Quelle ignoble entité humaine a pu instiguer cela ?
J’étais informé que certains psychopathes prenaient du plaisir à massacrer leur victime, mais c’étaient des gens marginalisés et qui étaient pointés du doigt. Or je ne pensais pas qu’on puisse véritablement faire cela en étant bien portant. Il a fallu faire un lourd travail pour ce faire. Bien que la foule se rendait jadis joyeusement et en famille à l’exécution d’un criminel, c’était tout de même pour un crime, quelque en fut la justice, qu’il était condamné. Le massacre est ici d’une autre nature, il n’est pas une crime passager ou expéditif, il est la destruction ciblee de l’innocence. La destruction pure de la pureté.
J’en veux à mes professeurs d’avoir fait des cours sur le devoir de mémoire. Ils m’ont radicalement menti et trahi ce qu’ils prétendaient honorer, vendu un mal pour un autre, pire encore, devant mes yeux et en connaisssance de cause. Ces criminels sournois, les professeurs que j’ai eus, enseignaient la désinformation, le crime et la destruction à leurs élèves. Je me demande s’ils se sont alignés sur leur intérêt puéril, celui des élèves, ou bien sur le diktat de l’insecte.
