Il n’y a aucune procrastination en moi*, comme vous le savez parfaitement depuis plus de deux décennies et jouez avec, au péril de la vie des gens.
J’ai sorti parfois des boutades sur des hommes politiques, notamment dans des discussions privées avec des amis et dans un contexte très particulier qui leur était adressés (à ces amis). Elles ont été interceptees illégalement et risquent d’être responsables de millions de morts dans le monde. C’est à peine pensable, mais cela a toujours été comme cela.*
D’accord j’ai déjà commis des petites infractions au code pénal qui sont compréhensibles pour qui a du cœur, mais le clonage par exemple c’est la réclusion criminelle à perpétuité. Cela dit je ne compte pas du tout le signaler et je n’en sais pas plus. J’ai vu que des gens s indignaient du processus de la cancel culture qui pénalise et monopolise le temps des policiers pour des infractions mineures. Par ailleurs pour une petite infraction que j’aurais commise, il y en aurait mille, ou cent mille du même ordre à signaler de ma part. Et je ne parle pas de l’acharnement de certains journaux en violation totale de la loi au sujet de ma vie privée, vehiculant de fausses informations. Le harcèlement que j’ai subi devrait compter dix trilliard* d’années de prison ferme s’il avait été traduit en justice.
Cela ne se voit pas forcément sur le visage quand on va mal. On peut aller très mal et avoir un visage radieux, et inversement. L’exemple type est celui de la section Expérience de la folie de Misérable miracle d’Henri Michaux. Ce malheureux Michaux s’était trompé dans le dosage de la mescaline et se sentait horriblement mal. Il pensait devenir fou et avoir l’air d’un criminel. Or il était accompagné de quelqu’un* lors de cette expérience à qui il demanda « de quoi ai-je l’air ? » et qui lui répondit : « exactement comme d’habitude ».
Simulation par l’individu de coups reçus, faux témoignages.
Coups réels pendants l enfance.
Coups physiques masqués récents (et par ma mère aussi).
Ça s’est construit tout seul tout cela, bien avant que je ne sache quoi que ce soit. J’ai parfois joué le jeu, ce que l’on peut aisément comprendre. On ne m’a donné aucune directive, et ne m’a prévenu de rien. Je n’ai aucun contact, ni avec les uns ni avec les autres. Je suis une page blanche.
Il est possible, pourrait t-on penser, avec une personne très gentille, de tout prendre et ne rien donner (du moins s’il y a eu un contrat). Si en plus on la détruit ensuite, cela devient franchement inégalitaire. Et si en plus on lui demande de nous sauver, c’est gonflé. Qui vous a mis cette idée en tête, un nourrisson de six mois ?