L’été je rangeais les framboises dans des sabliers, et le lundi j’enregistrais des orangs outans avec mon horloge. Quand venait le ciment des pays de rouille, j’enlaçais des vêpres qui grandissaient sur une paroisse.
Catégories : Poésies.
- Publié le :
- 30 décembre 2024 – 22 h 13 min
- Auteur :
- Florian
Vous risquez de ne pas me suivre car vous êtes des profanes, mais il n’y a aucun romantisme dans la pure sentimentalité. Le romantisme est un film de série B, lorsque la pure sentimentalité est une instance bien plus fine encore qu’on pourrait appeler l’onde orphique. Elle détruit la pulsion, la condition, vers l’origine même […]
Catégories : Poésies.
- Publié le :
- 30 décembre 2024 – 22 h 08 min
- Auteur :
- Florian
Le poète affaibli, comme le brave Hölderlin dans sa tour, qui n’avait pas de traitement pour se soigner, a parfois une intériorité saccadée, vous l’aurez remarqué je pense, d’où ma référence au vol des chauves souris, le soir, quand dans un calme coloré et évanescent, ces petits monstres surgissent, vous voyez ? Et pourtant ces […]
Catégories : Poésies.
- Publié le :
- 30 décembre 2024 – 21 h 34 min
- Auteur :
- Florian
Le romantisme est une longue séquence en soi, soit une plage de sentiment, une durée au sens bergsonien. C’est précisément ce que le manipulateur, ou l’homme-pulsion, n’est pas capable d’éprouver. C’est là sa fatalité et sa damnation, ne pas pouvoir éprouver de bonheur stable, même avec toute l’aide du monde.
Catégories : Non classé
- Publié le :
- 30 décembre 2024 – 21 h 21 min
- Auteur :
- Florian
Le monde de l’immanence est le monde sans illusion, le monde animal pourrait-on dire.
Catégories : Non classé
- Publié le :
- 30 décembre 2024 – 14 h 31 min
- Auteur :
- Florian