LA MORT DE L’HOMME Seulement des traces de cette haine tenace qui tient d’hommeEt sans cesse des rognures d’homme sur le chemin du réelSans cesse et toujours la même ivraie en cheminEt la testostérone qui pullule largementQuand la féminité n’est pas plus perverse encore Il n’y aura que des chiens ivres qui s’évaderontDes grandes allées […]