Bras. À quel point tu peux changer et être subtilAvec tes bras comme des oraisonsBlanc grenat et blanc grenailleDu pur ivoire boudinéOù bat le sang invisibleQui sème son odeur néant dans les veinesDe ce bras si cruel et vivantEt chaste que l’on pourrait manger sa crèmeLa rigidité de son émoi Ainsi posé dans le décorD’une […]