CHANT ANONYME Ce sont bien les tempes voisines de la villeQue viennent là s’assoirLes sœurs endommagées de l’asphalteElles sont ridiculement petitesDans le trou et la dorsaleDe pauvres poissons affamésLa folie de l’essieu des rouesMange les cœurs et les veinesQui longuement se sont pâmésDans une cohésion familiale Maintenant que sont les jeunes heuresLes magnifiques trouéesLe bleu […]