MATIN l’abandon de soi dans le coeuret dans la vanité de ses spasmespénétrants et dissemblablesl’immortalité comme des branches qui s’exprimentet comme des mouvements solitairesquand tiennent des édificessur la première marchesur le premier jardinet la première offense cela rime avec la sujétionavec le temps qui radotesur les marches du perronsur l’allée de haiessur le houx mystiqueet […]