Archives par catégorie : Poésies.

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  est-ce que jamais les fous et les reines ou bien l’élégance d’un simple pion pourront enfin embrasser cette autre élégance de n’être rien à une heure relative où le vent porteur est fluide comme un rais dans l’espace passionné de ses rayures

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Montée des marches je veux avaler ton odeur de cadavre exquisexquise haleine de la portée offerte par tes os en souffrancefolle exquise et intransigeante reinemontagne de souffrances et de paquets violacéslancés aux yeux fermés du pénitent emportéqui cicatrise à peine sa fortune d’avoir étésis sur les mêmes marches de pierreset passé par les mêmes escaliers […]

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  tu te laisses tomber sur les planches de la bibliothèque je ne sais plus quoi dire sur le mal qui m’est fait la poésie est de l’instant la synthèse est une saloperie c’est un monde relativisé c’est un monde productif une clé sur une serrure rouillée par la science et la divinité c’est du […]

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  au téléphone tu ris comme une carpe je pense à une carpe, bien qu’elle soit muette mais j’entends le rire d’une gorge vocale tu es ce soleil qui dans les eaux blanches et noires est un salut ou une gorgone transperçant le point du jour dans une artificialité verticale où les arbres dénudés filtrent […]

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  demain je verrai la fleur qui ne souffre pas d’asthme c’est déjà un chemin d’être dans le marasme et c’est aussi une lumière dans la tranche de la cité grise où des morceaux de ce qu’on pourrait nommer le passé ont laissé des germes qu’on ne voit pas l’invisible apporte la nuée mais l’asthme […]

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  Parasitisme pourtant après que le rayon oblique parasitisme de la nuit et du système des choses matérielles et des influx nerveux des choses qui ne sont pas dans la décoction de l’irréel il y avait des pies que nous observions longuement et la volonté de la pie est une énigme comme les tourterelles qui […]

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  Je te parlais de mannequins l’artificialité, de ces bras mesquins les perles qui grossissent au-dedans de leur sein je te parlais de conquêtes qui sont le germe d’un délire où l’arbre est serein car le soir les formes se posent et l’on dirait que les mains, sereines sont des cerveaux amaigris d’âmes anciennes c’est […]

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  Oui j’ai cette souffrance mais surtout, l’urbanité s’effondre ailleurs qu’en toute forme d’espoir car doivent mourir ceux qui ne disent précisément qu’une amitié s’est transformée en amour je me suis effondré, et j’ai bâti la joie comme un aigle prend les courants comme une chair est faite de muscles et comme ces muscles sont […]

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  Tu me dis que d’autres personnes déversent leur sperme dans le corps de ta soeur c’est autre chose que je viens porter parmi les troncs salés qu’on a plantés au milieu de la bibliothèque avec des artifices dont on ne sait rien que l’image exempte d’ennui, de grande nature mais seul cet îlot, seule […]

(écrit à la main) 0

  C’est sur la commissure la lèvre et l’endroit trouvé du salut de la meurtrissure et du moyen de désagréger les blocs en paupières et les années en nids de rivières que sue l’homme dégueulasse et le charmant poète