La hideur morale rejoint le cœur d’une femme. L’amour est une laisse de caniche où pendent des crotales. La haine de la femme est un mollard sur la table.
Catégories : Poésies.
La hideur morale rejoint le cœur d’une femme. L’amour est une laisse de caniche où pendent des crotales. La haine de la femme est un mollard sur la table.
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Les saucissons sont des artères fémorales qui urinent des châssis électriques.
Catégories : Poésies.
L’intelligence n’est pas plus savante qu’une éolienne dans un champ. Elle avance dans les blés comme une femme acéphale. Ses hélices sont des herbes qui s’épuisent dans le temps.
Catégories : Poésies.
Les épices sont des chamois aux dents de velours. Quand tourne la grand roue sur l’échine des vautours, les creux de mes tempes touchent leur indicible velours.
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L’ensoleillement des trafics est une haie citronnée. Les pivoines dansent sur des cheminées absconces. Les rêves sont doux dans le chemin des rivières.
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La semence divine n’est dans aucun corps mais dans l’âme du poète. L’aveuglement et l’instinct conduisent à des bizarreries. Il n’y avait plus rien de l’humain, quand la semence fut détruite. Les dieux s’en allèrent, et les anges se retournèrent contre eux-mêmes. On avait inventé des formules oiseuses. Dans le fond des mers les hippocampes […]
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Aucun enfant n’aura jamais ta douceur Florian, car tu es l’agneau de Dieu. Tu feras bêler les moutons et ruminer les boucs car ton innocence, c’est toi Florian qui l’as construite. Tu t’es perfectionné avec le sang du monde, par toi-même enfant béni. Les forces qui t’alimentent dépendent d’une organisation que tout le monde ignore. […]
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