Nos jeux se sont amoncelés dans une vague féroce. Le ciel transige avec l’appréhension de nos cimes. Dans le voile se déchire le caprice du jour.
Catégories : Poésies.
Nos jeux se sont amoncelés dans une vague féroce. Le ciel transige avec l’appréhension de nos cimes. Dans le voile se déchire le caprice du jour.
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Les tempes de ces longues affaires traînent sur l’épave de nos aventures. Elles témoignent d’une brisure dans l’apparence du jour. Je suis immergé dans une lumière artificielle.
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L’éveil est la rose de l’espace dans le bourgeon de la vie. Mon travail est de prendre les courants dans le ciel du temps. Les carapaces ouvrent leur ailes.
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La nature est faite de cycles. Les chiffres règnent. Les chiffres décident de la nature. Mes voisins me dérangent car ils sont orphelins. Je sais où s’étend mon unique désir.
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Une abeille vole au-dessus d’une arête rocheuse. Mon bonheur n’était pas total. L’abeille m’a dit que le dehors était un chaos de montagne. L’abeille s’est élancée dans le vide. Elle était un programme.
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Le monde fait corps avec moi, jusqu’au vol de la mouche, car je suis l’homme sans égo, sans intention, sans volonté.
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L’entrave du monde agit sur moi, et le comportement des gens aussi. Elle agit sur l’enfance du monde que je représente dans tous les domaines, même les plus imprévus. On ne peut rien face à cela, c’est comme les troubles neurologiques.
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La religion a un caractère délirant. Le génie sait l’utiliser, car il est maître de l’esprit, et son esprit est le corps. Son corps qui est esprit est l’unité du monde, et cela le génie en use avec fantaisie. Ceux qui utilisent son corps entravent la marche du monde. Ils sont des violeurs et génèrent […]
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Chopin ma inspiré et j’ai inspiré Chopin. Chopin fait du chupa choups sur le chopi de choupa. Choupa choups !
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