Mojave ghost.

Month: juin, 2020

FENTE Fendue en deuxcomme le tronc d’un arbredes traces ocres survivent à une maladieau milieu de ton visagebéant cette traînée de poudreet de colle ou bien d’huilecette trace sanguine comme des coursivesteignent sur une âme scindéela viscosité de cette divisionet la brutalité du monde Toi dont l’écarlate divisionexprime un phénomènela course aux agissementset les sévices […]

LE VOYAGEUR   Non de silence dans une avenue pareille Pour que passent et se défassent des appareils Dont l’insignifiance est une bouée Tranquille mais déconstruite comme le lointain du cri Il vit en battant des balles dispersées Celui qui touche aux notes mystérieuses Aux touches nauséabondes du piano Il est comme un reflux celui […]

  il est là le seul précipice dans le jeu des pensées elle est la mesure qui tue le masque ils sont la vibration atténuée sans que l’oscillation ne soit qu’un seul lac elle est allée au terme de la vétusté pour nouvelle arriver dans l’instant où le désir cherché n’est plus qu’une ombre violacée.

ABANDON Quel est ce désircet appareil sanglant qui te menaceque tu envoies sans cesse, foudroyer l’aircomme s’il y avait plus de poison dans l’espacetu ne peux jamais convenir à l’amour ordinaireet scarifies le tempsde mesures qui sont des débrisd’envergures qui sont des soucisavant qu’une crise d’apprivoiseet que tu t’appesantisses ensuiteivre de débris, de verre pourquoi […]

CITE A l’approche du moi élémentairedans la cohésion avec d’autrestémoins de blocs de pierre il ne fautsembler exact que dans une penséemais fièvre et délire sont les mots vraissont les dénivelés et les brumes solaires que solitude aille seule dans le témoin larvéd’une cité que solitude aille où le touchern’enfreint aucune règle

ATOMISME   et dans l’étreinte je vois le centre je vois la nervure frontalière le dedans du dehors, des chemins de fer quand il s’agissait de partir aidant à l’ouvrage de toujours faire selon des lois algales et de nervosité il s’agissait de viser l’intériorité qui se laisse faire selon des choses obligées l’antiquité est […]

  Un vent cinglant débroussaille les phalanstères c’est la mort qui arraisonne au lieu de toute misère vendre, vendre le produit dans la marge de la douceur s’étiolent les morsures sévit la sereine et la dense limite, et dans la vie qui commence rien ne se châtie, rien ne se castre qu’une orbe et que […]

CHANT D’UNE AURORE J’embrasse le feu de prométhéeet décris des cercles qui semblent anciensà vrai dire je ne suis pas non plusd’un monde où cohabitent de sinistres sentimentsje suis d’une composante aériennebien lasse des petits miasmesje m’éreinte à désirer le meilleurqui coupe court aux manies d’orchestrer le vivantje coupe court à toute manieet me demande […]

  je ne vais pas parler de l’oblique rayon du silence je vais obtenir le gravier et la rigole où s’en va tel plaisir rejoindre la chaussée plus de métaphore qu’un simple cygne entrant dans la majesté du glaive et ne fournir que des sacs de ciment à tout pénitent de la colère. c’en est […]

  Ce n’est pas un matin bleu Rien ne survit à une terne tension Rien de ce qui est dit Ne dévie dans les fonds rageurs D’avoir perdu la méduse L’électricité qui avait le sens D’un monde et d’une nation L’oraison de ton oreille pointe D’une masse musculaire.