L’IRIS FONDAMENTAL

J’obtiens parfois bonheur
Des fleurs dans un champ souverain
Et dans l’angle de la pièce
Je pars déjà où viennent
Les rêves m’atteindre différemment
Tes yeux sont du minéral vivant
Et de la douce ambroisie
Tes yeux sont la tempe et la faille
Où je meurs aussi

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