Ce qui m’affecte le plus, c’est de prendre conscience que des gens puissent être si stupides dans un monde si extraordinaire. Il faut croire que c’est ma philanthropie et mon optimisme qui parlent finalement, et que je croie en l’humain et à l’avenir ! Mais j’avoue que je suis assez difficile, l’humain à tendance à me désolidariser du monde de l’immanence. C’est l’un de mes paradoxes.