Je connais certains analystes basiques de la poésie qui ne perçoivent pas son aspect vivant. Ils marmonent des choses prosaiques qui ne concernent qu’eux mêmes. Il n’ont rien du délire de la poésie. Ce sont des matérialistes sans magie. Et quand on lit leur œuvres créatives : c’est désespérant, triste et morne.