L’espoir

O bonne mère O notre Dame
Nous vivons une bien drôle d’époque
On dirait qu’ils ont tous perdu la tête
Mais tu veilles encore, au-dessus de Marseille
Tes ex voto répondent aux âmes perdues
À ceux qu’on a abandonnés en pleine mer
C’est toi qui resplendis de tes hauts faits
Tes enfants sont parfois turbulents
Et leurs parents désemparés
Mais les flammes de ton cœur les guide
Et ils adoptent d’une vie meilleure

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