Il m’avait dit une autre fois, alors que son masque était tombé pour des raisons dont je ne me souviens plus : « c’est maintenant que tu comprends que je suis fou ? ». Je me souviens aussi à quel point ses preuves d’attachement me rendaient mal à l’aise, comme lorsqu’il disait : « je ne pourrais jamais vous perdre  » plutôt que de me rassurer. Je comprenais sans savoir. Cependant j’avais un espace de liberté, et fort de ma sagesse juvénile, j’ai toujours su dépasser toutes ces anomalies.

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