Je ne crois pas aux tissus de liens qui se déposent
j’avait dit que sa tête était un monde à part
posée sur elle-même et brisée
ses racines absconses déposant leurs radicelles
sur le monde environnant
pourquoi alors le contact est-il coupé
pourquoi la semonce qu’il endure
ne verse de ses eaux sur ce vaste monde
le visage à part et les rêves aléatoires
murés par le présent et ses évènements
plus d’ancienneté qu’un arc dissous
qu’une voûte ambulante dans le cercle du savoir
qu’un entrain à être, par-delà les chaînes.