Laisse moi t’écrire quelque vers, mon oie sauvage, il y a des iris mélodieux dans les vagues de la mer, et des joutes de rosée dans les creux et les failles des déserts, des amphithéâtre dans les rêves, et des rochers sablonneux dans les sphères des grands nord. Le soir, quand les troncs d’arbres voisinent les terriers, des perdrix voyagent sur le dos des tapis, et des rennes apportent du bois à des canards sauvages. Les rochers scintillent à cette heure, une étoile prisonnière pèse sur leur langueur. Des hommes rient dans des plaines, car la lune est si proche des autres lunes, qu’elle penche sa tête sur les herbes du jour.

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