C’est le deuxième poème sur mana, j’ai perdu le premier hélas, tout comme j’avais perdu le poème Mars.

J’ai la force du mana
le vent salubre tourne dans les directions
où s’élève lentement la force de la terre
je prends au levant la direction d’un hémisphère
et traverse des plaines de déraison
quand s’élève la solitude de la terre
je donne la multiplicité aux chants de raison
oui je lève avec le vent ce qui magnifie mes terres
et j’entre dans la collision des plus hautes stratosphères
tel un rire de la terre qui entre en fusion
je prends la tangente et m’élève au ciel
c’est la terre et sa puissance qui roule
et tourne sur elle-même

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